L'imposture du génocide vendéen, par Philippe Landeux.


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Enregistré le 26.10.2014
Posté le 23.02.2015
Durée : 1 heures 40 minutes 11 secondes


Description :
La Vendée, un fratricide, un drame national ! Ce n’est pas assez ! Certains y voient un génocide, le premier génocide de l’histoire moderne, perpétré par des idéologues au nom de la Révolution, matrice de tous les totalitarismes. Pas moins !
Il est vrai qu’au mois de mars 1793, alors que la jeune République française (née le 22 septembre 1792) s’apprête à entamer sa première campagne de guerre — une guerre contre toute l’Europe, dans laquelle la France a été plongée au mois d’avril de l’année précédente par les Girondins et la Cour —, il est vrai que c’est alors qu’une large part de la population des départements de l’Ouest, en majorité paysanne, se soulève ; elle refuse de marcher à l’ennemi commun ; elle s’oppose au recrutement ; elle s’arme contre les villes, contre les gens des bourgs, contre les républicains ; elle massacre les patriotes locaux.
Que cette fureur soit justifiée ou non, la République n’a pas le choix, et doit faire face, comme le ferait n’importe quel régime dans pareille situation. Mais comment réagit-elle ? A-t-elle fait son devoir ou est-elle allée bien au-delà ? Pragmatisme ou fanatisme ? C’est là toute la question, tout le débat. Et la réponse est dans les décrets de la Convention nationale, dans les arrêtés du Comité de salut public, dans la correspondance des représentants en mission.



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Philippe Landeux

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