Henri Guillemin nous retrace l’aventure révolutionnaire au travers des yeux d’un Robespierre pacifiste, qui s’oppose aux campagnes militaires de la Révolution comme aux intrigues des possédants dont l'unique but semble être la garantie des droits de propriété.
Remarque : le son est inégal, et la conférence coupée avant son dénouement.
"Une terrasse de café du quartier Saint-Germain, pas au Flore ni aux Deux Magots, plus bas sur le boulevard. Comme tous les jeunes désoeuvrés qui attendent de voir avant de se jeter, Louis regarde la rue, il fait bon mais c’est déjà l’automne. Soudain son regard vagabond tombe sur le cul très beau d’une jeune femme en jupe rouge comme l’auto qui passe à cet instant juste derrière elle, l’automobile est belle, la fille de dos l’est sans doute aussi. Dans la fumée du café à cinq francs que refroidit la table de marbre, Louis, rêveur, roule en italienne, la fille est à ses côtés, le soleil d’automne devient soleil d’été. La voiture tourne au coin, la créature la suit, le soleil décline lentement sur la rue. À la tombée du soir, une blonde beaucoup plus moche suit un homme en noir dans une GTI, Louis boit son café froid, se lève et s’en va. Le souvenir de la belle inconnue au cul rouge lui sera très utile avant de s’endormir, cette nuit."
"Je n'approuve pas l'antisémitisme, c'est une conception étroite, médiocre et incomplète, mais j'ai tenté de l'expliquer. Il n'était pas né sans causes, j'ai cherché ces causes. Ai-je réussi à les déterminer ? C'est à ceux qui liront ces pages d'en décider.
Il m'a semblé qu'une opinion aussi universelle que l'antisémitisme, ayant fleuri dans tous les lieux et dans tous les temps, avant l'ère chrétienne et après, à Alexandrie, à Rome et à Antioche, en Arabie et en Perse, dans l'Europe du Moyen Âge et dans l'Europe moderne, en un mot, dans toutes les parties du monde où il y a eu et où il y a des Juifs, il m'a semblé qu'une telle opinion ne pouvait être le résultat d'une fantaisie et d'un caprice perpétuel, et qu'il devait y avoir à son éclosion et à sa permanence des raisons profondes et sérieuses." Bernard Lazare (Préface de L'Antisémitisme, son histoire et ses causes)
Depuis la chute de l'URSS, l'impérialisme américain traditionnel a changé profondément de nature et choisi la voie d'une démesure suicidaire, visant à une domination mondiale, par une sorte de simulacre de nouvel Empire romain.
Pourtant, Guillaume Faye ne croit pas que ce Nouvel Impérialisme Américain, qui prend des formes à la fois militaires et techno-économiques, soit une menace mortelle pour l'Europe.
Il renvoie dos-à-dos les milieux atlantistes et les tenants de l'anti-américanisme obsessionnel et hystérique, ridicule et contre-productif : les États-Unis ne sont pas l'ennemi principal, mais un adversaire.
Le Parc des Princes comme baromètre social, comme laboratoire de la banlieue. Ou le récit sans concession d’un ancien hooligan parisien.
Car, dès les années 80, le Parc n’était plus seulement un stade de football.
Avec l’apparition des premiers skinheads et par réaction des premières bandes estampillées "caillera" telles que les Black Dragons, et par extension des "fights raciaux" l’enceinte francilienne s’est fait le miroir des déviances de la société française, à tel point que les évènements survenus autour du PSG et du Parc des Princes annonçaient toujours avec un temps d’avance les futurs problèmes sociaux qu’allait rencontrer la France.
Bernard Lietaer explique l'instauration du monopole de la monnaie émise via le mécanisme de l'argent-dette par l'adoption du modèle de société patriarcale depuis de nombreux siècles. Ainsi, l'archétype de la Déesse Mère a été réprimé, avec comme conséquence l'apparition des deux ombres qui lui sont associées et qui constituent les deux piliers de notre économie: la cupidité et la rareté.
Il est important de comprendre le paradigme jungien archétype/ombre, paradigme qu'utilise Bernard Lietaer dans sa compréhension du phénomène monétaire.