La terminologie scientifique de l’Anthropocène de Crutzen et Stoermer (2000), représente, du point de vue d’un épistémologue et historien des sciences, une occasion privilégiée d’observer l’émergence d’une innovation conceptuelle et sa réception dans les géosciences, dans la coopération scientifique internationale et dans la culture politico-économique de la mondialisation d’une "humanité" qui prend conscience d’elle-même et de sa place dans l’évolution de la Biosphère.
Le débat implique une transdisciplinarité entre géosciences, biosciences, sciences humaines et sciences économiques et sociales sans précédent dans notre tradition académique européenne.
Le défi, intellectuel et institutionnel, est immense.
L'intellectuel dissident Alain Soral explique la raison d'être de la liste antisioniste aux élections européennes de 2009.
Il revient notamment sur l'imposture de l'Union européenne et sur le rôle de nos pseudo-démocraties dans le grand jeu des oligarchies mondialistes : "Le mondialisme c'est le sionisme étendu au monde entier."