Bien loin d'avoir offert le premier exemple d'une moral universelle, Jean Soler se propose de montrer que les prescriptions qui y sont contenues ne regardent pas l'humanité mais la tribu, le local, dont il faut assurer l'être, la durée et la cohésion.
L'amour du prochain ne concerne alors que le semblable -soit l'hébreu-, et la violence envers "les autres" y est admise, voire conseillée dans certains cas.
La conférence se déroule dans le cadre du séminaire René Scherer à Paris VIII.
Qui sait aujourd'hui que des mouvements comme la Fédération nationale catholique du Général de Castelnau ont pu compter jusqu'à 2 millions d'adhérent dans la période de l'entre-deux-guerre ? Ou encore les Croix de feu du Colonel de la Rocques qui comptèrent 1 million d'adhérents ?
Quels étaient ces mouvements ? Quelle part ont-ils joué dans notre histoire nationale ?
Les questions posées à Antoine Chollet sur le personnage et l'oeuvre de Cornelius Castoriadis sont les suivantes:
- Qui est Cornélius Castoriadis ?
- Qu'est-ce que le projet d'autonomie développé par Castoriadis ?
- Qu'est qu'une révolution selon Castoriadis ?
- Comment pourrait-on se réapproprier les idées de Castoriadis pour agir sur les problèmes globaux de notre époque ?
L'entretien se déroule pendant le colloque international de théorie politique à l'Université de Lausanne.
On appelle "chasseurs-cueilleurs" les peuples qui tirent leur subsistance exclusivement de ressources sauvages, par le moyen de la chasse, de la cueillette, de la pêche ou du ramassage de coquillages. C’était, avant la colonisation, le cas de nombreux peuples, les Aborigènes australiens, les San (anciennement appelés Bochimans), les Pygmées, les Inuit, etc. Par delà leur diversité culturelle, l’anthropologie sociale cherche quels sont les points communs de leurs sociétés. Quels types de structure économique ? Quelles formes d’organisation sociale ? Quelles religions ?
Un point de vue catholique traditionnel sur l'inquisition, et plus spécifiquement sur l'inquisition espagnole.
Rappelons que les fondements légitimant cette institution sont, dans une chrétienté gouvernée par des états confessants, la nécessité de défendre la vérité et de combattre l'hérésie, le dépôt de la foi étant le bien le plus sacré.