La longue durée montre que l'Afrique du Sud n'est pas LA « Nation arc-en-ciel » dans laquelle les déterminismes raciaux auraient disparu, mais l'assemblage artificiel de plusieurs peuples, aux intérêts souvent contradictoires, réunis par le colonisateur britannique à la suite de nombreuses guerres. Loin de la vision idyllique présentée par les médias, la réalité sud-africaine est tragique : près de deux décennies après l'accession au pouvoir d'une « majorité noire », l'Afrique du Sud cesse en effet peu à peu d'être une excroissance de l'Europe à l'extrémité australe du continent africain pour devenir un État du « tiers-monde ».
Que reste-t-il aujourd'hui de la théologie de la libération en Amérique Latine ?
Comment comprendre son évolution ? Peut-on en décéler l'influence hors de sa sphère d'origine ?
Le succès politique actuel d'un grand nombre de gouvernements de gauche dans cette région du monde est un premier élément de réponse.
L’ancien directeur du Libre Journal de la France courtoise, militant infatigable de la résistance catholique et patriotique, fait ici état de son expérience au sein de la Franc-maçonnerie au cours d’un exposé prononcé au Centre Charlier.
Il résume d'ailleurs l'essence de cette société secrète par la formule lapidaire suivante : "Un tas d'imbéciles manipulé par une poignée de crétins !"
"Marignan 1515" est dans toutes les mémoires, sorte de lieu commun de notre conscience collective. Mais, trop bien connu, cet événement est demeuré en réalité méconnu, dans son déroulement comme dans ses conséquences immédiates et plus lointaines. D'autant plus que les récits traditionnels font une large place à la légende, et que les sources italiennes sur Marignan sont presque toujours passées sous silence.
C'est pourquoi Didier Le Fur reconstitue dans le détail le déroulement des faits qui conduisent à la première victoire du jeune roi la première année de son règne, acquise à un prix terrible : 16 000 morts en quelques heures, ce qui ne s'était jamais vu. Puis l'auteur met en lumière la propagande développée par le pouvoir royal afin de justifier cette expédition hasardeuse et coûteuse, et le bain de sang final. Il montre ensuite comment les historiens, depuis le XVIe siècle, utilisèrent cette bataille somme toute peu glorieuse pour fabriquer un des événements les plus prestigieux de la nation France.