Télétravail, famille, patrie ! Le coronavirus marquerait-il la revanche posthume du pétainisme ? Tous assignés à résidence. Tel est le pari de François Bousquet qui, au travers d'une sorte de feuilleton de la pandémie, a pour ambition de déboucher sur des propositions concrètes.
Une sorte de grand écart entre le maréchal Pétain et Michel Foucault, théoricien de la biopolitique.
Émission "Les idées à l'endroit", animée par Rémi Soulié.
Si la transition de genre a toujours existé chez les adultes, l’irruption du phénomène de dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents appelle à une extrême vigilance. Comment admettre, en effet, qu'un mineur, qui n'est pas assez mature pour voter ou avoir des relations sexuelles, puisse consentir à des traitements qui supprimeront sa fertilité et modifieront son corps de manière irréversible ?
Quelles sont les conséquences médicales des hormones, et quelles en sont les conséquences psychologiques et psychiatriques ? Pourquoi une prise en charge totale des traitements et opérations alors que l'OMS déclare que la dysphorie de genre n'est plus classée parmi les maladies ? Pourquoi la détransition reste-t-il un phénomène tabou ? Comment le transgenrisme est-il entré dans le débat politique ?
Autant de questions et de réponses pour éclairer les risques et les dérives de la transition de genre chez les mineurs.
Après deux ans de questions-réponses en vidéo sur ERTV, l'émission Soral répond revient sous un nouveau format sur ERFM, la radio en ligne et en continu d'Égalité & Réconciliation.
Le principe : les auditeurs qui le souhaitent posent leurs questions sur le répondeur du polémiste qui choisit ensuite les meilleures et y répond.
Le covid a fait irruption dans nos vies alors que nous nous croyions hors d'atteinte et mis à l'abri de tout grâce à la technologie. Le 16 mars 2020, en quelques heures, le monde s'est arrêté. Les repères ont vacillé. Le contrôle de nos existences nous a échappé. L'urgence est devenue la norme, et l'exception, la règle.
Une autre maladie est apparue. Celle de la peur. Faisant de nos enfants les variables d'ajustement des obstacles rencontrés par la société. Nous tous, parents, avons réagi avec nos propres histoires, nos systèmes de valeurs, nos croyances et nos craintes.
Comment nos enfants, petits et grands, ont-ils vécu cette période ? Quel impact sur leur santé mentale et leur construction de futurs adultes ? Comment rester des parents incarnés et debout, et leur offrir un espace pour penser, vivre et aimer ?
Ce n'est que maintenant que la société commence à réaliser que nombre d'enfants et de jeunes adultes présentent une souffrance psychique. Marie-Estelle Dupont dresse un bilan de la santé mentale de la jeunesse et livre un éclairage sur ce qui a rendu possible la négation de leurs besoins élémentaires.
C'est à la découverte d'un personnage aux multiples facettes que nous partons : Jean-François Gautier, rédacteur à la revue Éléments, docteur en philosophie. Musicologue reconnu notamment pour son apport sur Palestrina et Debussy, il est aussi un penseur de la Nouvelle Droite qui représente un important courant de pensée en France.
Acteur de la reconquête culturelle, Jean-François Gautier n'est pas seulement philosophe. Il est aussi un homme de sciences : il est un des fondateurs de l'étiopathie à laquelle il a consacré de nombreux ouvrages. Jean-François est plus qu'un touche à tout : il brille dans tout.
Rencontre avec une personnalité qui possède un regard éclairant sur les événements de ce monde. À méditer !
Lui est ingénieur agronome et spécialiste en microbiologie du sol. Elle est maître en sciences et diplômée en œnologie. Claude et Lydia Bourguignon ont créé, en 1990, le laboratoire d'analyses microbiologiques des sols, le LAMS. Un laboratoire indépendant qui réalise des analyses pour des agriculteurs, des vignerons, des éleveurs, des collectivités locales… Plus de 15'000 ont déjà été menées à travers le monde. Avec un objectif : mieux connaître les sols pour ensuite les gérer de façon plus durable et en respectant l’environnement.
Considérés comme les spécialistes mondiaux des sols, ils nous rappellent ici leur importance pour notre santé et notre approvisionnement alimentaire.
Pourquoi les plus pauvres ont toujours des dents abîmées alors que le système de soin est censé être accessibles à tous ? Olivier Cyran retrace l'histoire de nos dents et de la dentisterie liées aux évolutions socio-économiques du Néolithique ou du commerce triangulaire qui augmenta la consommation de sucre en Occident… pour les plus riches.
La multiplication des centres dentaires en France depuis quelques années pose question sur la pratique de soin low cost où la rentabilité prime sur la qualité des opérations. Le scandale de Dentexia révéla cette gestion calamiteuse dont les victimes furent laissée à l’abandon avec des opérations bâclées, encore en cours voire inutiles.
Sur la base de témoignages et de ses recherches, il décrit un système à double vitesse qui privilégie les soins à haute valeur ajoutée sur les soins de base remboursés par la sécurité sociale.
Un travail qui invite à faire autrement, à penser une politique de prévention sans culpabiliser les gens. De la critique nait alors le monde vaste des possibles.
Voici plus d'un an déjà que le monde vit au rythme que lui impose le coronavirus. L'état d'urgence sanitaire se prolonge, les confinements se succèdent et malgré l'ouverture de vaccinodromes, une troisième vague se profile.
En France, mais aussi dans des pays aussi peu chamailleurs que l'Allemagne ou la Hollande, les gens n'en peuvent plus. Cette lassitude est multiforme, on se plaint pêle-mêle de l'inefficacité des gouvernants et des mesures autoritaires qu'ils prennent pour enrayer les contaminations. On incrimine simultanément cette foutue maladie et les restrictions des libertés.
Mais qu'est-ce qui est catastrophique ? Est-ce la pandémie elle-même ? Est-ce la politique brouillonne menée contre cet ennemi retors et invisible ? Est-ce l'ordre sanitaire instauré en réponse à un virus certes très contagieux, mais dont la létalité est inférieure à 0,5 % ?
Émission "Répliques", animée par Alain Finkielkraut.