Alors que Michel Marmin publie ses chroniques intempestives de Cinéphilie vagabonde, dans lesquelles il partage vingt années de (re)découvertes, et que Guillaume Travers assure la direction, en compagnie d'Alain de Benoist, de l'ouvrage depuis peu disponible de la Bibliothèque du jeune européen qui introduit à 200 essais qui ont marqué la pensée du Vieux Continent, l'occasion était toute trouvée de les rassembler afin de déambuler dans les couloirs du 7e art et de la pensée européennes, qui recellent tant de trésors.
Un exercice d'admiration autant qu'une invitation au ressourcement.
Émission du "Libre journal de la nouvelle droite", animée par Thomas Hennetier.
C'est au travers d'un entretien mené par Olivier François que Michel Marmin nous évoque ses souvenirs cinématographiques et nous parle de son rapport au septième art.
0:00:00 : Introduction
0:01:28 : Souvenirs ?
0:05:00 : Cinéphilie ?
0:09:20 : Mac-Mahonien ?
0:23:14 : Nouvelle Vague ?
0:24:41 : Jean-Luc Godard ?
0:28:27 : Réalisateurs ?
0:33:13 : Gérard Blain ?
0:45:57 : Créations ?
0:48:58 : Hollywood ?
0:54:08 : Cinéma muet ?
0:57:28 : Musique ?
1:01:49 : Érotisme ?
1:01:30 : Spiritualité ?
1:02:25 : Comédiens ?
1:06:14 : Cinéphilie ?
L'histoire de la droite, c'est bien, L'histoire de la gauche, c'est bien aussi. Mais l'histoire conjointe de la gauche et de la droite, c’est encore mieux !
Difficile, en effet, d’imaginer que la gauche puisse exister sans son opposé, la droite (et inversement) ! Plus encore, c’est en réponse à l’image que lui renvoie l'autre camp que ces deux identités politiques se sont constuites. Et il en de même pour l’enfer et le paradis, la guerre et la paix, les blondes et les brunes... Ainsi, certains sujets ne sont complets qu’associés à leur contraire et vice-versa.
Michel Marmin et Eric Branca, chacun avec leur sensibilité propre, nous proposent de revenir sur l'évolution de ces deux camps politiques qui n'ont cessé, au travers de l'histoire, d'évoluer et de se redéfinir.
Le cinéma serait-il autre chose qu'un produit de divertissement, comme le pensent les conformistes de notre temps ?
Pour les deux invités de l'émission, les salles obscures sont devenues autant de cavernes au sens platonicien : des lieux où règnent le mensonge et le dévergondage, des dortoirs pour consommateurs clonés. Y règnent les dogmes implicites de notre post-modernité : érotisme de masse, cynisme social, utilitarisme et manichéisme sur fond d'individualisme forcené ! Le septième art est ainsi réduit à un gadget du système techno-marchand, au point d'en être devenu la plus efficace des courroies de transmission.
Des antidotes existent-ils ? Michel Marmin et Ludovic Maubreuil nous proposent plusieurs pistes de réflexion.
Une émission présentée par Patrick Péhèle et Lucien Valdes.
Jean-Claude Valla (1944-2010) restera, devant l'histoire, comme l'une dey des figures les plus importantes et les plus attachantes de la Nouvelle Droite.
Son parcours personnel et son œuvre ne sauraient toutefois y être réduits. Militant nationaliste dans les années 1960, il fut dans la décennie suivante le chef de file incontesté du GRECE et le principal animateur, avec Alain de Benoist, d’un combat métapolitique qu’il devait illustrer en lançant la revue Éléments en 1973 et en dirigeant les rédactions d’hebdomadaires aussi prestigieux que Le Figaro Magazine ou Magazine Hebdo.
Meneur d’hommes qui savait allier la délicatesse à la fermeté, Jean-Claude Valla était un grand journaliste, doublé d’un historien non conformiste et scrupuleux.
C'est ce parcours hors normes que viennent nous conter Alain de Benoist, Pierre Vial et Michel Marmin, tous amis proches et compagnons de combat de Jean-Claude Valla.