Gilets Jaunes : avant la révolution ? Avec François Boulo sur ThinkerView.


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25.02.2019

Porte-parole des Gilets Jaunes à Rouen, François Boulo, 32 ans, est un avocat spécialisé en droit du travail. Depuis quelques semaines, il court les plateaux télé ou radio des médias pour présenter les doléances de ce mouvement qui rassemble les classes populaires et moyennes depuis le 17 novembre.
Face à l'arrogance d'un pouvoir qui s'engage chaque jour un peu plus dans une dérive autoritaire et répressive, quel est l'avenir de ce mouvement social ?

Analyse critique des médias capitalistes et des médias altercapitalistes. Avec Sylvain Quissol sur Radio Libertaire.


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2017

En réponse à une critique des médias de l'altercapitalisme étatiste de gauche -sans parler de celle d'extrême-droite-, nous est proposée une autre théorie critique des médias capitalistes, critique qui se veut marxienne, debordienne, loin de tout complotisme et de tout étatisme.
C'est l'approche structurelle qui est privilégiée, afin de comprendre les médias capitalistes en tant qu'entreprises devant participer à la course au profit, étudier les journalistes dans leur conformisme de classe et comme "idéologues actifs" (Marx, L'idéologie allemande).
Dans un deuxième temps, ce sont les critiques altercapitalistes-étatistes de gauche (Acrimed, Pierre Carles, Les nouveaux chiens de garde) et de leurs alter-médias (Fakir) qui sont étudiés et critiqués en dénonçant notamment leurs glissements conspirationnistes, confusionnistes et autoritaires.
L'émission se clot sur un appel à la poursuite du travail des auto-médias de lutte non-professionnels et libertaires.

Émission "Sortir du capitalisme", animée par Armel Campagne.

Contre Macron. Avec Juan Branco à Chateaulin.


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31.01.2019

Le Macronisme est une nouvelle variante du fascisme, et il nous faudra avoir la plus grande attention à la façon de débrancher ces êtres de nos institutions au moment du changement démocratique nécessaire qu'ils chercheront à éviter à tout prix.
Juan Branco montre comment, dès les premiers jours de son mandat, se dessinait chez Emmanuel Macron une pratique du pouvoir dangereuse pour la démocratie, ancrée dans une histoire politique éloignée des préceptes auxquels sa rhétorique donnait l’impression d’adhérer.

Le savoir comme fin en soi. Avec Normand Baillargeon pour les Affaires universitaires du Canada.


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02.2012

Normand Baillargeon ne compte plus ses livres. Il peut maintenant ajouter à sa bibliographie un manifeste bien ficelé en faveur d'une culture générale émancipatrice et contre-doctrinaire. Mieux vaut penser un programme d'enseignement dans un sens plutôt que dans l'autre ; parce que l'éducation est une arme qui libère autant qu'elle asservit.
L'anarchiste derrière le livre le dit : la culture est un objet problématique à circonscrire, c'est un "peu de tout, mais pas n'importe quoi". Évitons surtout les erreurs qui ont été commises dans le passé ; l'école s'éloigne de son dessein lorsqu'elle fait du dogme le contenu de son instruction.
Voilà pourquoi son livre, Liliane est au lycée, sied si bien dans la collection Antidote des éditions Flammarion.

Les problèmes éthiques posés par les nouveaux conflits. Avec Henri Hude au Collège des Bernardins.


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07.10.2015

La première question à laquelle il est nécessaire de répondre est à qui se posent ces problèmes éthiques. Aujourd'hui les problèmes éthiques posés par les nouveaux conflits dans le domaine militaire concernent le militaire, le politique, le scientifique, le philosophe, citoyen ?
Il n'y a pas spécialement de nouveauté en éthique militaire mais plutôt une exacerbation de certains phénomènes qui existaient déjà. Il s'agit notamment de l'intrusion des moyens de communication de masse qui révolutionne l'articulation du militaire et du politique. La guerre devient un moyen de communication.
Les principes de la "guerre juste" sont également touchés : comment satisfaire l'obligation morale de lutter efficacement contre l'adversaire si le combattant terroriste se déguise en non-combattant ?

Une conférence de l'Observatoire de la modernité.

Fake News, grande bourgeoisie et médias. Avec Geoffrey Geuens à l'Université de Mons.


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08.11.2018

La liberté de la presse dominante n'étant pas menacée, pourquoi veut-on légiférer sur les Fake News ? Pour condamner sites et bloggeurs critiques ? Menacer journalistes frondeurs et lanceurs d'alerte ? Briser les organisations de travailleurs ?
Quant à eux, lorsqu'il s'agit de fustiger grévistes et progressistes, les médias mainstream savent très bien relayer les Fake News : les "leurs" !

Ecrivains maudits, censures et interdictions. Avec Francis Bergeron sur Radio Courtoisie.


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06.03.2018

L'actualité s'est récemment polarisée sur plusieurs affaires de censure ou d'autocensure touchant à la littérature : pressions à l'encontre de Gallimard pour interdire la réédition critique des pamphlets de Céline, campagne pour retirer Maurras des commémorations nationales de 2018 ou encore refus de la mairie de Paris d'accorder une scépulture à l'écrivain Michel Déon.
Ces événements témoignent d'une restriction toujours plus grande de la liberté d'expression en France. Assistons-nous à une dérive totalitaire ?
Nous qui ne supportons pas les lois à géométrie variable ni la censure, nous nous devons de riposter à chaud pour faire prendre conscience de ce scandale au plus grand nombre, et en particulier aux amoureux de littérature.

Émission du "Libre Journal de la réaction", animée par Philippe Mesnard.

Délivrez-nous du bien. Avec Natacha Polony et Jean-Michel Quatrepoint au Cercle Pol Vandromme.


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21.11.2018

L'atmosphère est lourde. Les phrases, les situations qui semblaient autrefois anodines deviennent des crimes. Nous sommes tous coupables, et les inquisiteurs nous guettent. Coupables d'avoir bu un verre, d'avoir blagué sur les femmes, de manger de la viande, d'avoir offensé une minorité quelconque. Coupables d'avoir été du côté des "dominants". Chaque jour, un citoyen qui se croyait, non pas un héros, mais un type à peu près bien, se retrouve cloué au pilori, sommé d'expier ses crimes et de faire repentance.
Derrière cette traque aux dérapages et ces entreprises de rééducation, un mécanisme : la tyrannie de minorités qui instrumentalisent des combats essentiels, pour les transformer en croisade contre une supposée majorité, contre les "dominants". Au nom du Bien, on modifie le vocabulaire, on nie le plaisir, on criminalise le désir, on réécrit l'histoire.
Ces nouveaux bigots, qui détestent l'Homme tel qu'il est et le rêvent selon leurs diktats, sont les idiots utiles d'un néolibéralisme qui atomise les sociétés et fragilise les structures traditionnelles pour mieux imposer sa vision manichéenne du monde.