Les populations occidentales font aujourd'hui une utilisation massive des psychotropes, légalement au travers des prescriptions médicales et illégalement par l'usage de drogues.
Ceux-ci entraînant de fait une altération -temporaire- de l'état de conscience et vu les scandales récents liés à certains médicaments (la crise des opioïdes aux Etats-Unis notamment), il est plus que nécessaire de comprendre les retombées de telles pratiques en termes de santé publique, d'abord, et plus largement sur le plan anthropologique et culturel.
Émission du "Libre journal de géopolitique profonde", animée par Nicolas Stoquer.
Après deux ans de questions-réponses en vidéo sur ERTV, l'émission Soral répond revient sous un nouveau format sur ERFM, la radio en ligne et en continu d'Égalité & Réconciliation.
Le principe : les auditeurs qui le souhaitent posent leurs questions sur le répondeur du polémiste qui choisit ensuite les meilleures et y répond.
Alors que la France entière continue de subir les mesures de confinement total décidées par un gouvernement qui minimisait les risques posés par le Coronavirus il y a encore quelques semaines, il est nécessaire de continuer à s'interroger sur le sens global de cette crise sanitaire doublée d'une expérience d'ingénierie sociale à grande échelle.
- 0'00'35 : introduction
- 0'03'31 : d'où vient finalement ce virus ?
- 0'06'03 : virus naturel ou de synthèse ?
- 0'13'16 : la réaction du nouveau pouvoir chinois
- 0'17'17 : c'est quoi le Covid-19 ?
- 0'21'39 : Covid-19 et SIDA
- 0'33'52 : SIDA, Covid-19, du préservatif au confinement
- 0'39'09 : ni masques ni chloroquine, l'épidémie comme volonté gouvernementale
- 0'43'35 : Big Pharma, du serment d'Hippocrate au business du médicament
- 0'47'29 : du médicament au poison, le scandale de l’OxyContin
- 0'50'07 : Bill Gates, quand le danger n’est pas le virus mais le vaccin !
- 1'03'21 : la Chine de Xi Jinping ou le nouveau méchant
- 1'10'30 : effondrement économique occidental, la Chine devra payer ?
- 1'15'05 : l'empire chinois rétif à la Shoah
- 1'17'50 : synthèse 1 - France : la dictature macronienne par la pandémie
- 1'23'22 : synthèse 2 - États-Unis : empêcher la réélection de Trump
- 1'31'35 : synthèse 3 - Russie : Poutine toujours aux commandes
- 1'33'22 : conclusion - De défaite en défaite jusqu’à la victoire !
Politiste et président du Cercle Aristote, Pierre-Yves Rougeyron donne un entretien dans lequel il revient longuement sur la crise du Coronavirus et ses conséquences.
Un point général de la situation est d'abrd établi pour la France, particulièrement quant aux manquements de l'Etat et aux différentes polémiques qui entourent cette crise sanitaire.
Dans un deuxième temps, c'est le traitement de la pandémie à l'échelle européenne et internationale qui est abordé.
Alors que la France entière subit les mesures de confinement total décidées par un gouvernement qui minimisait les risques posés par le Coronavirus il y a encore quelques semaines, il est temps de s'interroger de manière globale sur le sens de cet événement sanitaire doublé d'une expérience d'ingénierie sociale à grande échelle.
- 0'00'45 : comment se passe le confinement ?
- 0'02'53 : l'Europe n'existe pas
- 0'04'46 : les frontières, c'est quand on veut !
- 0'06'50 : du libéralisme libertaire au libéralisme autoritaire
- 0'11'38 : les réactions chinoise et russe
- 0'17'38 : la réaction française
- 0'26'22 : approche hystérique ou raisonnée de la statistique
- 0'35'41 : la communauté organisée qui tient la France
- 0'41'39 : demain, les réquisitions et le travail forcé ?
- 0'45'45 : la situation italienne
- 0'48'46 : vers la disparition de l'argent liquide et de l'épargne privée ?
- 0'53'31 : Nouvel Ordre Mondial sataniste versus dissidence, multipolarité et chloroquine
- 1'08'51 : le courage de nommer l'ennemi
Depuis plusieurs mois, un nombre inquiétant de médicaments connaît des ruptures de stock. En cause, le manque de disponibilité de certaines substances, souvent produites à l'étranger ou vendues en priorité à des pays pratiquant des prix plus élevés que la France.
Le marché peut-il vraiment prendre en charge ce secteur de façon autorégulée ?
L'économise Jacques Sapir reçoit Bruno Bonnemain, membre de l'Académie nationale de pharmacie, pour évoquer ces problématiques de santé publique.
Ils sont la hantise des administrations, des banques, des armées, des ambassades : depuis une décennie, les lanceurs d'alerte dévoilent la face cachée des institutions. Médecins, informaticiens, soldats, banquiers, ils ne veulent pas couvrir les vilenies dont ils ont connaissance. Evasions fiscales, dangers sanitaires, écoutes illégales, exécutions sommaires : rien n’échappe à leur vigilance.
Briser la loi du silence a pourtant un coût humain : prison, exil, menaces, pressions. Dans ce nouveau paysage de l'information où tout va plus vite, où la communication a souvent pris le pas sur l’information, où l'info et l'intox font parfois bon ménage, les lanceurs d’alerte sont-ils les briseurs d'un monde sous contrôle, les fantassins des vérités cachées ?
Cela vaut la peine de s'interroger sur leurs pratiques et leur destin, au moment ou le gouvernement Français fait adopter des lois menaçant la liberté d'expression et accentuant encore le contrôle numérique de nos sociétés.
Rien ne va plus dans la santé. Chacun le sait, le sent et l'éprouve, qu'il soit citoyen, patient, soignant, médecin ou pharmacien. Tous ont compris que la finance mondiale est reine, tous ont compris que l'industrie pharmaceutique se taille la part du lion, refuge de la Bourse et sources de dividendes juteux.
Accuser Big Pharma de tous nos maux serait un raccourci dangereux. Les Italiens expliquent que la mafia ne devient vraiment dangereuse que lorsqu'elle investit les rouages de l'État.
Qui, si ce n'est le ministre, autorise la mise sur le marché de médicaments peu testés, après quelques mois d'études dites pivot sur des critères allégés, donc potentiellement dangereux, souvent peu utiles, à des prix délirants ? Qui dissimule les liens d'intérêt entre agences gouvernementales, experts et labos ? Qui donne le pouvoir bureaucratique via une multiplication d'agences médicales si ce n'est le politique à travers ordonnances, lois successives (Juppé, Bachelot, Touraine) en sus des plans cancer et nombreux décrets et circulaires ?
L'État est au coeur du système monopolistique : il impose aux médecins comme aux professeurs honnêtes leur soumission aux diktats thérapeutiques.
Gérard Delépine lève le voile sur les moyens utilisés par la dictature bureaucratique au service des lobbies, et propose quelques mesures indispensables comme la suppression des Agences régionales de santé (Ars), lourdes et coûteuses inquisitions sans contre-pouvoir.
Il n'y aura pas de médecine de qualité, quel que soit le mode d'exercice, sans liberté de prescription, ni liberté de choix du patient.