La France en Afrique 1520-2020, vérités et mensonges. Avec Jean-Paul Gourevitch au Cercle Aristote.


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14.09.2020

Quel est le bilan de cinq siècles de présence de la France en Afrique ? La France du XXIe siècle en fait-elle trop ou pas assez pour l'Afrique ? Quelle est aujourd'hui son image auprès des Africains et celle de l'Afrique auprès des Français ?
La présence française en Afrique fait partie des tabous de l'histoire car depuis les indépendances, aucun pays d'Afrique francophone subsaharienne n'a connu la paix civile totale ou une croissance soutenue, alors que cette Afrique ne manque ni de richesses ni d'atouts.
La France et l'Afrique ont un avenir commun et c'est pourquoi Jean-Paul Gourevitch s'efforce de rétablir une histoire largement travestie en nous invitant à bousculer les tabous et à changer de paradigme pour l'examiner en toute connaissance de cause.

Révolutions d'Afrique et d'Asie. Avec David L'Epée et Nikos Amilduki à Clarens.


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30.06.2018

À l'occasion d'une présentation des deux premières brochures des Editions des Livres Noirs, David L’Epée et Nikos Amilduki, respectivement auteurs de Socialismes asiatiques : l'Orient est-il toujours rouge ? et L'Europe et l'Afrique : un même combat contre le mondialisme ! présentent une réflexion commune sur l'ensemble des structures politiques antimondialistes qui se succèdent au sein du continent africain et asiatique depuis l'après Seconde Guerre Mondiale afin d'en exposer les importations "socialistes" et "nationalistes" qui se sont historiquement à la fois opposées et imbriquées aux paradigmes locaux dans lesquels elles s'implantent. Car l'idéologie socialiste, majoritairement influencée par l'URSS durant la période de la Guerre Froide, a été un moyen ponctuel pour ces pays de résister à l'hégémonie atlantiste états-unienne.
Les dynamiques révolutionnaires et les limites contre-révolutionnaires suivant les contextes et les pays sont alors présentées afin d'en analyser les conséquences.
Au vu des reconfigurations géopolitiques et idéologiques qui font suite à la chute du communisme soviétique et à la progression du néo-libéralisme, nous pouvons nous demander si une option de "socialisme national" pourrait être une solution à court terme pour les pays de cette partie du globe afin de faire face à un appareil de domination fonctionnant principalement sur ce qu’on appelle "le mondialisme".

Aux origines de l'eschatologie biblique : Grand Israël et gouvernance mondiale. Avec Youssef Hindi pour E&R à Strasbourg.


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03.11.2018

Loin de remettre en cause le monothéisme, Youssef Hindi nous livre un récit historique inédit du dévoiement de l'idée monothéiste par un groupe d'Hébreux qui a cru bon d'adopter puis d'imposer au peuple d'Israël une divinité qui lui était alors inconnue, Yahvé. Celui-ci s'est substitué, à la suite d'un lent processus, à El, le Dieu d'Abraham, des Patriarches et des prophètes. Car contrairement à une idée répandue, les Hébreux n'ont pas inventé le monothéisme, mais une partie d'entre eux l'a dévoyé.
C'est ce que démontre Youssef Hindi, après avoir remonté la trace de la croyance en un Dieu Unique dans l'Antiquité la plus reculée.
L'enquête nous mène aux tous débuts de l'Histoire, aux deux extrémités du Croissant fertile, de Sumer à l'Égypte, en passant par Canaan. Il nous fait découvrir les preuves écrites de la croyance en Dieu, Unique et Universel, antérieures à la Torah de plus d'un millénaire.
Malheureusement le monothéisme, présent dans la Torah originelle, fut perverti par la confusion opérée entre un dieu tribal, Yahvé, et le Dieu Universel, El. Cette usurpation a donné naissance au judaïsme et à son paradoxe théologique : l'universalisation d'un dieu tribal, avec des conséquences historiquement dévastatrices.

Le martyre oublié des chrétiens chaldéens. Avec Jean Monneret sur Radio Courtoisie.


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17.05.2012

Les catholiques Chaldéens sont très peu connus en France où il existe pourtant une communauté de plusieurs milliers de réfugiés, surtout en région parisienne.
Ces chrétiens de rite oriental, avec l'araméen pour langue lithurgique, s'étaient déjà placés sous la dépendance de l'église de Rome du temps du sultanat ottoman (d'où leur nom de catholiques orientaux).
En plus de leur état permanent de dhimmi, ils ont eu à souffrir des nombreux conflits de la région et des pogroms réguliers envers les chretiens, avec en particulier le génocide des Arméniens lors de la première guerre mondiale, génocide dont ils ont été aussi victimes.
Il ne reste aujourd'hui presque plus de catholiques en Turquie...
Emission du "Libre Journal de Claude Giraud", animé par l'abbé Lorans.