L'homme et la ville. Avec Henri Laborit sur Radio Libertaire.


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17.10.1984

La finalité de toute structure vivante est de maintenir cette structure : un groupe social représente une structure vivante d'un certain niveau de complexité. 
Henri Laborit démontre que la ville est l'un des moyens utilisés par tout groupe social pour conserver sa structure. En effet, l'Homme qui, jusqu'à une époque récente, n'a découvert que la physique et l'a utilisée pour accroître sa puissance technique, permettant la domination de certains individus ou de certains groupes humains sur d'autres (le plus souvent par l'intermédiaire du profit), a utilisé la ville clans ce même but. 
Tout y est fait pour assurer la défense de la propriété des objets, des êtres, des moyens de production, des niveaux hiérarchiques.
La destruction progressive de l'environnement et la disparition de l'espèce humaine, auxquelles peut aboutir ce type de comportement de puissance, fonderont peut-être la grande crainte qui conduira l'homme à transformer la finalité des groupes sociaux au seul "profit" de l'espèce humaine. 
La participation de la ville à cette évolution montre que l'urbanisme n'est pas seulement un problème de spécialiste : c'est le problème de la vie humaine dans son ensemble qui est posé.

Ingénierie sociale et cybernétique. Avec Lucien Cerise chez les Non-Alignés.


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26.01.2014

Rencontre de fond avec Lucien Cerise qui nous parle de ses recherches sur l'ingénierie sociale et la cybernétique, soit les sciences d'arraisonnement et de sculptage des masses humaines.
Des méthodes de contrôle à connaître pour comprendre les moyens employés par l'oligarchie pour créer un homme nouveau "transhumaniste", jusque dans les rapports sociaux et l'intimité des personnes.

Ingénierie sociale et mondialisation. Avec Lucien Cerise pour Kontre Kulture.


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04.2014

Lucien Cerise nous présente son livre "Gouverne par le chaos", exposé synthétique des méthodes d'ingénierie sociale actuellement pratiquées.
Conflits triangulés, marketing de l'intime, marchandisation du vivant : ces techniques visent toutes à contrôler les comportements des masses composant les grandes "démocraties" modernes.
Un éclairage intéressant pour comprendre la dynamique de notre (dé)civilisation qui bute sur ses contradictions internes, et notre horizon possible : le transhumanisme comme bouée de sauvetage du capitalisme.