Alain Soral: questions/réponses au Théâtre de la Main d'Or.


(1)
946 Vues
0 commentaire
08.06.2008

Cette conférence qui clôt un an d’une tournée aux quatre coins du pays. Les thématiques tournent autour du thème majeur qui anime la réflexion d’Egalité et Réconciliation, "gauche du travail, droite des valeurs".
Alain Soral revient également sur les raisons de son engagement et s'autorise à commenter l’actualité et les thèmes majeurs qui agitent la société française (crise économique, identitaire, morale, spirituelle).
Un échanges incorrect qui feraient rougir de honte les professionnels du "débat" médiatique, stérile et lénifiant, et verdir de rage les médiocres experts, analystes et autres vermisseaux terrorisés par la pensée unique.
Un modèle réduit de la vraie France, celle qui s’interroge, se bat et brave l’ordre établi !

La France sans ses usines. Avec Patrick Artus à la Librairie Mollat.


(0)
1154 Vues
0 commentaire
13.04.2012

Pendant longtemps, on a voulu croire que le modèle économique idéal pour les pays les plus riches était d'abandonner l'industrie aux pays émergents et de se spécialiser dans les services et dans les nouvelles technologies.
Or, ce modèle fait disparaître les emplois intermédiaires, tandis que la désindustrialisation aboutit à une baisse du niveau des emplois et des salaires, avec la substitution d'emplois de service peu sophistiqués aux emplois de l'industrie. Par ailleurs, il contribue à fragiliser l'équilibre économique du pays puisqu'un pays désindustrialisé ne peut équilibrer son commerce extérieur : il doit donc s'endetter perpétuellement auprès du reste du monde, d'où nécessairement à terme une crise d'insolvabilité, comme celles que l'on observe aujourd'hui en Grèce, au Portugal ou en Irlande.
Comment sortir la France de cette impasse ? Peut-on renverser la tendance et réindustrialiser ?
Oui, à condition de mettre en place une montagne de réformes structurelles.

Comment sortir de la catastrophe ? Avec Slavoj Zizek au Theâtre des Idées du Festival d'Avignon.


(0)
1415 Vues
0 commentaire
11.07.2011

De la crise financière à l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima, la société du risque est devenue le modèle de notre monde contemporain sans cesse menacé d'effondrement écologique, économique ou politique.
Comment échapper à la fois à la catastrophe et au catastrophisme ? Quelles alternatives collectives construire pour faire face à cette crise de l'avenir ?
Slavoj Zizek analyse les différentes façons d'appréhender la crise du capitalisme. Car les quatre cavaliers de l'Apocalypse (désastre écologique, révolution biogénétique, marchandisation démesurée et tensions sociales) sont, selon lui, en train de le décimer.
Face à cette situation catastrophique, quatre attitudes semblent s'imposer : le déni (l'idée que la misère ou les cataclysmes, "cela ne peut pas m'arriver"), le marchandage ("laissez-moi le temps de voir mes enfants diplômés"), la dépression ("je vais mourir, pourquoi me préoccuper de quoi que ce soit") et l'acceptation ("je n'y peux rien, autant m'y préparer").
Or, il est possible de sortir collectivement de cette mondialisation malheureuse.

Crédit à mort : la décomposition du capitalisme et ses critiques. Avec Anselm Jappe à Rennes.


(0)
1173 Vues
0 commentaire
25.08.2011

Anselm Jappe développe dans un premier temps sa réflexion sur la crise du capitalisme à partir de la critique marxienne de la valeur.
Il réagit ensuite longuement à des questions et interventions dans la salle.
 La critique de la valeur n'est-elle pas une forme d'économisme ? Ne pousse-t-elle pas au pessimisme ?
 Pourquoi la valeur est considérée comme une fait social total (au sens de Mauss) ?
 La crise du capitalisme est-elle une opportunité pour l'émancipation sociale ?
 Qu'est-ce que la lutte des classes ? Faut-il vraiment arrêter de revendiquer pour une redistribution des richesses capitalistes (argent et machandises) ?
 Le capitalisme est-il vraiment en train de s'effondrer ?
 Quels sont les effets du discours de la critique marxienne de la valeur ?
La discussion collective s'ouvre enfin sur la perspective de l'émancipation sociale (Que faire ? Quoi faire ?), au-delà de la forme de vie sociale capitaliste-marchande structurée par le travail socialement médiatisant, le mouvement de la valeur, l'argent et l'Etat.

La crise du syndicalisme. Avec Philippe Arondel au Cercle Aristote.


(0)
1011 Vues
0 commentaire
27.05.2013

Comment comprendre la crise du syndicalisme français et européen ? Comment expliquer son quasi-ralliement aux thèses néolibérales et son rôle d' "accompagnateur" des réformes euro-libérales ?

Jusqu'où l'Or va-t'il monter ? Avec Michel Prieur et Emmanuel Ratier sur Radio Courtoisie.


(0)
1134 Vues
0 commentaire
27.07.2011

Comment comprendre la montée inexorable de la valeur-or sur les marchés ?
Michel Prieur nous explique simplement que l'or, valeur-refuge par excellence, est plutôt un indicateur de la faiblesse des monnaies-papier. Tant que les états imprimeront du papier, l'or va continuer de monter !
C'est d'ailleurs une constante de l'histoire économique : l'état, en situation de crise, manipule le marché de l'or (confiscation de l'or sous Roosevelt, exemple de la République de Weimar, razzia sur l'or par les douanes françaises sous le Front Populaire).

Les enjeux de la crise financière. Avec Michel Chossudovsky à Montréal.


(0)
826 Vues
0 commentaire
27.11.2008

Michel Chossudovsky s'interroge sur les causes et les conséquences de l'effondrement des marchés, et des impacts sur l'emploi et le niveau de vie des populations.
En effet, la décomposition des finances publiques impliquera forcément des coupes dans les services de santé et d'éducation.
L'enrichissement d'une minorité sociale, au travers de cette crise du capitalisme mondialisé, engendrera une mondialisation de la pauvreté.

La crise du capitalisme financier. Avec Paul Jorion à Montpellier.


(0)
1487 Vues
0 commentaire
16.05.2012

Où en sommes-nous ? Alors que la crise née en février 2007 entre dans sa cinquième année, que sommes-nous aujourd'hui en mesure de craindre et d'espérer ?
Les États ont été entraînés dans l'abysse par un secteur bancaire mortellement blessé par des dizaines d'années de crédit excessif - le crédit ayant remplacé les salaires. Aucune des demi-mesures prises n'ayant eu le moindre effet, sommes nous entrés dans le temps des mesures radicales ?
La conférence est introduite par Jean-Claude Michéa.