Émergence et évolution des différentes formes de racisme. Avec Olivier Roy à l'Assemblée nationale.


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08.09.2020

La question actuelle de l' "islamophobie" est une bataille sémantique à travers laquelle se joue notre regard sur l'islam en France. Pour le politologue Olivier Roy, l'enjeu est la liberté religieuse dans une société où beaucoup considèrent que le refus des valeurs républicaines relève de la sécession.
Islamisation de la radicalité ou radicalisation de l'islamité ? C'est également la querelle sur le lien entre islamisme et terrorisme qui doit être explicitée, sachant que selon que les pouvoirs publics privilégieront l'une ou l'autre thèse, la place de l'islam en France sera différente.

Après Alstom, à qui le tour ? Avec Jacques Sapir, Hervé Juvin, Jacques Myard, Jean-Michel Quatrepoint, Paul-Albert Iweins, Denis Pluvinage, Franck DeCloquement, Leslie Varenne et Stéphanie Gibaud à l'Assemblée Nationale.


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26.11.2015

Un séminaire de réflexion/débat sur les risques que l’impérialisme juridique et numérique américain fait peser sur les entreprises françaises.
Avec plusieurs avocats ou des professionnels de l’intelligence économique, et en s'intéressant aux exemples de pays qui ont entrepris de défendre leurs entreprises et leurs citoyens contre la menace extérieure, les opérations américaines récemment menées contre les entreprises françaises ou européennes sont examinées afin de pouvoir prescrire des actions préventives aux politiques.

La représentation et l'avenir des institutions. Avec Bernard Manin à l'Assemblée nationale.


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29.05.2015

Des démocrates athéniens à Montesquieu, d'Aristote à Rousseau, personne ne songeait à faire de l'élection l'instrument démocratique par excellence. Démocratie n'équivalait pas à gouvernement représentatif : c'est le tirage au sort qui paraissait le plus apte à respecter l'égalité stricte des candidats.
Que s'est-il passé au tournant du XVIIIe siècle, en Europe et aux Etats-Unis, pour que se renverse cette conception multiséculaire et pour qu'advienne l'idée qu'une démocratie est, par essence, un gouvernement représentatif ?
Bernard Martin montre que le système représentatif n'a pas pour seule fonction de permettre au peuple de se gouverner lui-même.
Le gouvernement représentatif mêle en fait des traits démocratiques et aristocratiques. L'élu n'est jamais le double ni le porte-parole de l'électeur, mais il gouverne en anticipant le jour où le public rendra son jugement.