Le catholicisme social et le légitimisme. Avec Léo Imbert et Philippe Montillet sur Radio Courtoisie.


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26.05.2018

Sur le plan historiographique, l'usage est de résumer l'affrontement politique au XIXe siècle comme le combat engageant une Droite libérale et une Gauche radicale présumément socialiste. Les récits et les mémoires oublient bien souvent le mouvement légitimiste et le catholicisme social, incarnant tous deux une lutte acharnée contre la modernité et les impasses libérales et socialistes.
Retour sur deux mouvements protéiformes qui jouèrent un rôle important sur les scènes politique et sociale françaises au XIXe siècle et qui finiront par se diluer dans les dédales des compromissions.

Émission du "Libre Journal de la plus grande France", animée par Philippe Pichot-Bravard.

Le modernisme catholique : genèse et bilan. Avec l'abbé Guillaume de Tanouarn au Cercle Henri Lagrange.


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02.2015

L'église catholique a subit de grandes transformations depuis le XIXe siècle, tant au niveau théologique que pratique. En effet, de grandes tendances comme le libéralisme, le progressisme ou le modernisme ont exercé une influence réelle.
L'abbé de Tanoüarn nous aide à comprendre leurs origines et conséquences dans les différents contextes sémantiques et historiques qui les ont vu éclore, en revenant particulièrement sur le concile Vatican II, définit ici comme "un concile qui s’est voulu un concile-monde".

Le catholicisme social. Avec Léo Imbert au Cercle Aristote.


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10.04.2017

Sur le plan historiographique, l’usage est de résumer l’affrontement politique au XIXème siècle comme le combat engageant une Droite libérale et une Gauche radicale présumément socialiste ; les récits et les mémoires oublient bien souvent ces catholiques, qui au nom d’une morale et d’une éthique propres, incarnèrent la lutte contre la modernité.
Le Catholicisme social, forme conjoncturelle de la Doctrine sociale de l’Eglise, se constitua en un mouvement autonome, véritable troisième voie face aux impasses libérales et socialistes."Nous voulons une solution de la question sociale, voilà tout, et cette solution, nous la demandons à la tradition chrétienne" déclarait l’une des figures de proue du mouvement, Albert de Mun.
De ce courant protéiforme et éminemment social Léo Imbert tente de saisir l’essence ; celle-ci fit sa force et impacta son temps puis se dilua dans les dédales des compromissions.