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Rendre accessible la réalité actuelle de l'Union Européenne et de ses institutions, permettre de comprendre l'opression du système monétaire et financier, ouvrir les pages de l’histoire des banquiers est salutaire et provoque cette nécessaire "insurrection des consciences" qui fait sortir de l’esclavage.


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David Engels nous propose une interprétation originale du devenir des différentes crises que nous traversons : et si les soubresauts actuels de l'Union européenne n'étaient rien d'autre qu'une redite de la chute de la République romaine ?
Dans son dernier livre, il dresse une série d'analogies entre Rome avant l’empire et l’Union européenne avant le pire. L’une comme l’autre ont traversé, ou traverseraient, une grave crise d’identité : manque de repères culturels, ouverture aux autres mal maitrisée.
Rome s’en est sortie en renonçant à la République pour se livrer à Octavien, qui deviendra le premier empereur sous le nom d’Auguste.
L’Europe n’aurait donc pas d’autre alternative : elle doit se transformer en un pouvoir plus fort, plus centralisé et moins démocratique. Sinon, ce sera l’implosion en une multitude de micro-états dominés par le nationalisme.
Emission "Les Matins" animée par Marc Voinchet et Brice Couturier.


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La CEE et l’Union européenne ont promu les régionalismes au détriment des pouvoirs centraux, dans une optique ouvertement fédéraliste. Or, Bruxelles et l’ensemble de la construction européenne sont aujourd’hui très affaiblis, notamment par les trains massifs et quasi simultanés des récents élargissements (2004, 2007) et par les effets délétères de la crise économique mondiale depuis 2008. On enregistre aujourd’hui des revendications d’autonomie, de souveraineté et d’indépendance (référendum voulu par les Écossais en 2014 ; poussée indépendantiste chronique en Catalogne ; etc.). Il s’agit d’une tendance lourde à la fragmentation, confirmée par le fait que cinq pays de l’UE refusent de reconnaître l’auto-proclamation de l’indépendance du Kosovo et par les provocations du régime hongrois (distribution de passeports aux Magyars de souche avec droit de vote en Hongrie…) et du régime roumain (à l’égard des Moldaves). Quelle suite donner aux demandes minoritaires, nationalitaires ou communautaires ? Quelle responsabilité des États et de l’UE ?




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Questions abordées dans la première partie :
1 – Alain de Benoist : penseur de gauche ou de droite ?
2 – Qu’est-ce que la Nouvelle Droite ?
3 – Les médias et l’étiquette de droite
4 – Une évolution intellectuelle de la droite vers la gauche ?
5 – L’intellectuel engagé face au militant de parti
6 – Quête de vérité et recherche d’efficacité
7 – L’élite et le peuple
8 – Gramsci et la méthode du combat culturel
9 – Une droite allergique aux intellectuels
10 – L’Europe fédéraliste des peuples : contre l’Union européenne et contre les nationalismes
11 – Quelle alternative à la technocratie européiste ?
12 – Un exemple de résistance à l’européisme : la Suisse
13 – La géopolitique des blocs pour un monde multipolaire.
Dans la seconde partie :
1 – Le péril américain
2 – Peut-on parler d’une islamisation de l’Europe ?
3 – Le progrès, la mondialisation et le sens de l’histoire
4 – Quel avenir pour la globalisation ?
5 – L’écologie : à la fois conservatrice et révolutionnaire
6 – La décroissance : une chasse gardée de l’extrême gauche ?
7 – Considérations sur quelques esprits libres d’hier et d’aujourd’hui
8 – Quel mode de vie pour un penseur dissident ?
9 – S’instruire et écrire : une question d’organisation et de discipline.


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L'entretien traite des rapports entre la Suisse et l'Union Européenne sur les vingt dernières années, soit depuis la décision des Suisses de ne pas adhérer aux institutions de l'Espace Economique Européen. François Schaller a été, en Suisse romande, un des pionniers de la lutte contre l'européisme et il nous explique les raisons qui ont motivé son engagement.


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