Aurélien Bernier, auteur du récent La démondialisation ou le chaos, nous parle de la possibilité de refonder l'ordre économique mondial sur des bases coopératives.
- 0'01'56 : des OGMs aux relations internationales, le parcours d'un militant politique
- 0'11'36 : pourquoi les partis politiques, syndicats, mouvements associatifs écologistes sont actuellement dans une impasse
- 0'15'42 : ce que "démondialiser" veut dire
- 0'20'13 : les ruptures politiques et économiques incontournables pour résoudre les crises écologiques et sociales actuelles
- 0'31'11 : le levier des nationalisations : ses objectifs et les conditions de son exercice
- 0'39'26 : ce que "coopérer" veut dire
- 0'50'13 : pourquoi un pays du Nord comme la France aurait intérêt à coopérer avec des pays du Sud
- 0'57'07 : les liens entre "coopération" et "relocalisations"
- 1'10'55 : est-ce utile de décroître si les autres ne le font pas ?
- 1'24'23 : l'évolution de la gauche radicale sur les questions internationales et son manque de clarté
- 1'29'58 : gauche radicale et "anti-productivisme"
- 1'32'31 : petit coup de gueule sur une génération de militants qui ne lit plus assez
Une émission animée par Damien Detcherry.
C'est en compagnie d'Alain de Besnoit que Méridien Zéro nous propose un scanner de l'actualité. Les problématiques françaises et européennes, brûlantes, sont passées en revue.
En relation avec l'actualité éditoriale de l'invité, ce sont les populismes et la décroissance qui retiennent particulièrement l'attention.
Une émission animée par Wilsdorf, Arnaud Naudin et Lord Tesla.
Les relations entre l’Allemagne et les Etats-Unis traversent une période délicate. Quelles sont les points de blocage, en particulier avec la question de l’OTAN ?
Olivier Kempf propose de revenir sur l’histoire récente et les spécificités culturelles de l’Allemagne au XXe siècle pour comprendre les tensions actuelles et dans quelles directions elles pourraient évoluer.
Une conférence prononcée dans le cadre du festival de géopolitique et de géoéconomie organisé par l'Ecole de Management de Grenoble.
Philippe Séguin (1943-2010) a été une personnalité politique considérable dans l’histoire de la Ve République, plus par sa stature personnelle, son style et l’expression vigoureuse de ses idées que par l’abondance des responsabilités nationales exercées (deux années comme ministre des Affaires sociales en 1986-1988, quatre années comme président de l’Assemblée nationale de 1993 à 1997). Les années 1990 furent sa période de plus grande notoriété, en raison de son engagement emblématique contre le traité de Maastricht (1992) et de la figure de "recours" qu’il incarna face à des orientations plus "libérales" de la droite de filiation gaullienne, dans un contexte de grande incertitude institutionnelle (cohabitations successives, passage du septennat au quinquennat, européanisation croissante des outils et des enjeux de la politique intérieure).
Il est d’usage de présenter Philippe Séguin comme une personnalité forte et respectée – on se souvient de l’ampleur de l’hommage national qui lui fut rendu, à sa mort, aux Invalides -, mais aussi atypique, turbulente, enfermée dans une vision excessivement "nationale" des questions économiques et sociales, jugée trop en marge de la politique traditionnelle et des enjeux de la mondialisation.
Au contraire, Arnaud Teyssier se propose de montrer que Philippe Séguin représentait une vision parfaitement orthodoxe et cohérente des institutions de la Ve République, que le gaullisme social, dont il était porteur, n’a jamais été qu’une composante essentielle d’une puissante tradition politique française – le gaullisme n’étant pas seulement un mouvement historique lié à la personnalité exceptionnelle du général de Gaulle, mais une étape fondamentale dans la construction laborieuse de la démocratie française : construction qui est loin d’avoir atteint sa maturité, et dont on pourrait même soupçonner qu’elle est entrée en régression avant même d’avoir été achevée, comme l’avait prophétisé Philippe Séguin...
Partant du constat que dans le monde globalisé actuel les nations européennes ne peuvent plus, seules, avoir la force nécessaire pour faire face aux blocs, celles-ci risquent d'être amenées à disparaître de la compétition internationale. Seule la création d'une Europe forte et unie, reposant sur la défense de ses identités nationales et régionales, peut inverser les choses.
C'est ce à quoi Gabriele Adinolfi, figure incontournable du néofascisme italien, nous invite à réfléchir.
Émission du "Libre Journal des Européens", animée par Thomas Ferrier.
L'analyste politique et prospectiviste Michel Drac nous propose un commentaire de l'actualité focalisé sur les tendances lourdes qui structurent l'équilibre précaire de nos sociétés et sur les éléments de rupture qui viennent le perturber.
Au menu des mois de juin et juillet 2018 :
- 0'00'00 : introduction
PREMIERE PARTIE
- 0'01'45 : les essentiels et le postérisé du mois (Matteo Salvini)
- 0'03'15 : démographie et flux migratoires
- 0'12'30 : ressources et technologies
- 0'27'45 : géopolitique
- 0'52'30 : zoom sur la guerre de Syrie
- 1'07'15 : économie et écologie
- 1'40'00 : Union européenne, l'Euro et le Brexit
DEUXIEME PARTIE
- 0'00'00 : Union européenne, crise migratoire et questions diverses
- 0'17'45 : politiques intérieures
- 1'04'00 : cultures et sociétés
- 1'30'45 : zoom sur la crise du sens
Pour ce grand entretien, Pierre-Yves Rougeyron revient sur l'actualité politique et géopolitique des mois de juin et de juillet 2018.
Une analyse où les actualités nationale et internationale sont passées au crible de l'intérêt français souverain.
PARTIE 1 :
- Actualité du Cercle Aristote
- Questions nationales
PARTIE 2 :
- Questions internationales
- Questions économiques
Julien Rochedy, ancien responsable du FNJ, est depuis revenu à la vie active avec la créaction de l'École Major, à mi-chemin de l'entreprenariat et du projet d'influence métapolitique. Car la politique du XXIe siècle est désormais aussi affaire de développement personnel et d'élaboration de réseaux.
À la recherche d'une droite à la fois forte, pragmatique et populaire, il souhaite l'apparition d'un grand mouvement qui prenne en compte les problématiques identitaires, écologiques et économiques tout en ne cédant pas devant le politiquement correct.
C'est pour le voir s'exprimer sur ces sujets et bien d'autres qu'il est venu s'exprimer ici.
Émission "Libéré sur parole", animée par Tepa.