Dans tous les domaines, les réseaux Open Society veulent changer le monde et y parviennent en partie depuis plus de 40 ans. Du "capitalisme inclusif" à l' "uberisation" du travail, des campagnes pour la "transparence des Etats" à la soi-disant lutte contre la corruption, de la mondialisation financière à l'anarchie migratoire, du reformatage civilisationnel aux lois et à la propagandes anti-familles, de la guerre des monnaies à la spoliation des populations, des lois de surveillance généralisées à la déstabilisation par le terrorisme, de l'ingéniérie sociale et sanitaire à la géoingénierie environnementale, les réseaux Open Society nous ont déclaré la guerre.
Connaître son adversaire est primordial si nous voulons défendre un avenir pour nos enfants et notre civilisation. Laurent Ozon nous fait ici un exposé de la situation et répond ensuite aux questions du public.
Les deux intervenants se penchent sur le cas George Soros, milliardaire "philanthrope" autoproclamé.
Accusé à la fois par les Chinois de déstabiliser leur monnaie et par les Hongrois d’être l’instigateur des vagues migratoires récentes, sponsor des Femen et des No Borders, organisateur de révolutions colorées, George Soros est l’un des personnages emblématiques du Nouvel Ordre Mondial… ou plutôt du désordre mondial.
Une conférence qui révelera la face cachée des ONG, les intérêts de certains spéculateurs à financer des actions dites "citoyennes", et comment la soit-disant "société civile" composant ces organisations est en réalité très liée à des réseaux de pouvoir et d'influence.
Thibaut Philippe propose également une méthodologie visant à démasquer les entreprises faussement désintéressées et spontanées, afin de nous apprendre à nous défendre collectivement contre les manipulations de l'opinion publique dont nous faisons l'objet.
La guerre de l'information fait rage : vidéos de l'Etat islamique, propagande et contre-propagande en Ukraine, affrontements d'images entre le Hamas et Israël, polémiques visuelles sur les multiples rebondissements de la guerre civile en Syrie,... Les fabricants d'intox oeuvrent dans tous les camps.
Il ressort de ce constat que la franchise, pas plus que l'abjection, ne sont des clés de succès.
Christian Harbulot nous rapporte des récits édifiants et des histoires méconnues pour analyser ces nouvelles guerres de propagande, qu'elles soient étatiques, militaires, citoyennes ou économiques.
Un objectif : désintoxiquer le citoyen et lui apprendre à se prémunir de tous ces enfûmages sophistiqués dont il est parfois la cible, parfois la victime collatérale.
Peut-on mélanger l'anarchisme et le conservatisme ? Cette position politique inclassable est-elle cohérente ?
Dans la lignée des penseurs George Orwell et Jean-Claude Michéa, Charles Robin nous invite à considérer les enjeux philosophico-politiques de notre époque et à nous positionner face à la nouvelle forme d'oppression totalitaire du capitalisme.
En effet : on peut être à la fois un défenseur intransigeant de l'égalité sans souscrire aux illusions "progressistes" et "modernistes" au nom desquelles s'accomplit désormais la destruction du monde. En établissant la cohérence réelle de cette pensée apparemment paradoxale, Charles Robin met en évidence quelques-unes des conditions de cette indispensable critique moderne de la modernité.
L’ancien directeur du Libre Journal de la France courtoise, militant infatigable de la résistance catholique et patriotique, fait ici état de son expérience au sein de la Franc-maçonnerie au cours d’un exposé prononcé au Centre Charlier.
Il résume d'ailleurs l'essence de cette société secrète par la formule lapidaire suivante : "Un tas d'imbéciles manipulé par une poignée de crétins !"
Pour sa double conférence "Vers l’insoumission généralisée" à Nice et à Marseille, Alain Soral a bravé les fatwas lancées contre lui par Manuel Valls et Christian Estrosi.
Une conférence passionnante du président d’Égalité & Réconciliation qui clôt un week-end dense et intense en émotion, malgré les menaces et les tentatives d’intimidation.
Mathias Cardet remonte le fil de l’histoire du rap, avec notamment la contestation noire aux Etats-Unis, pour démonter la récupération d'un rap basé sur un hédonisme libéral devenu aujourd’hui une "imposture et une escroquerie".
C'est ensuite au tour de Jo Dalton d'aborder le sujet du point de vue de son vécu.
Alain Soral terminera brievement la conférence par un appel au dialogue et à la compréhension entre les divers groupes sociaux et ethniques présents.