Le Parc des Princes comme baromètre social, comme laboratoire de la banlieue. Ou le récit sans concession d’un ancien hooligan parisien.
Car, dès les années 80, le Parc n’était plus seulement un stade de football.
Avec l’apparition des premiers skinheads et par réaction des premières bandes estampillées "caillera" telles que les Black Dragons, et par extension des "fights raciaux" l’enceinte francilienne s’est fait le miroir des déviances de la société française, à tel point que les évènements survenus autour du PSG et du Parc des Princes annonçaient toujours avec un temps d’avance les futurs problèmes sociaux qu’allait rencontrer la France.
Jean-Pierre Le Goff est reçu pour la publication de son livre "La gauche à l’épreuve. 1968-2011" où il analyse ce processus de décomposition que nous connaissons depuis les années 1970.
Décomposition sociale, politique, idéologique qui touche la politique et qui ne fait que refléter des évolutions sociales profondes, évolutions qui sont celles d’un "nihilisme passif", d’un "être du vide".
Alain Soral nous parle de son travail de pionnier dans l'analyse des rapports hommes/femmes et de l'escroquerie féministe comme moyen utilisé pour masquer les conflits sociaux.
Il porte ensuite son regard sur l'évolution sociétale et sociale en France, et sur l' "élite" française en charge de la nation
Enfin, l'entretien se termine par l'évocation du nouveau ministère de l'immigration et de l'identité nationale et des enjeux que cela recouvre.
Dans l’art et la culture, comme dans tous les domaines, le consommateur a remplacé l’amateur. L’audimat et le marketing ont fait leur entrée dans les musées. Les publics sont devenus des audiences au sens des grands médias de masse. Le rapport aux œuvres devient de plus en plus quantitatif. Ce consumérisme est à l’opposé de cette relation éminemment qualitative et intime qu’un amateur d’art entretient avec les œuvres.
Nous ne sommes plus dans une économie du désir, mais de la dépendance, nous vivons dans une société grégaire où la croissance est devenue une mécroissance : une société du tout-jetable, de l’infidélité, promue par un capitalisme pulsionnel qui fonce dans un mur.