David L'Epée questionne Marion Sigaut sur ses sujets de prédilection, soit la fin de l'Ancien Régime et la marche vers la Révolution française qui verra le triomphe du libéralisme comme logique de -non- société.
Mariont Sigaut en profite pour démonter les mythes propagés par le couple Badinter sur le XVIIIe siècle, et revenir sur les nouvelles formes de censures. C'est l'occasion de dénoncer l'instrumentalisation des groupes "antifa", cette bande d'incultes au garde à vous du politiquement correct pourchassant systèmatiquement les individus exprimant une pensée originale.
Qui sait aujourd'hui que des mouvements comme la Fédération nationale catholique du Général de Castelnau ont pu compter jusqu'à 2 millions d'adhérent dans la période de l'entre-deux-guerre ? Ou encore les Croix de feu du Colonel de la Rocques qui comptèrent 1 million d'adhérents ?
Quels étaient ces mouvements ? Quelle part ont-ils joué dans notre histoire nationale ?
Scandales, corruption, chantages, manipulations, assassinats... Il est bon de se rappeler que nos élus, représentants les intérêts de leurs partis politiques (où de lobbies sectorisés), se permettant d'asséner des leçons de morale au bon peuple à longueur de journée, malgré leurs placards remplis de cadavres !
La France, une république bananière ?
Quelle définition donner au communautarisme ? Les politiques portent-ils une responsabilité ?
Quelle attitude adopter fasse aux revendication des minorités victimaires ?
Les deux conférenciers s'interrogent sur ce curieux phénomène, en défendant le modèle républicain, creuset d'intégration traditionnel censé coupé court aux revendictions d'odre communautaire.
Une émission se proposant de revenir sur l'histoire de France et de distinguer les événements réels des mythes qui peuplent son roman national.
Des gaulois à Clovis, d'Etienne Marcel à l'émergence du sentiment national avec Jeanne d'Arc jusqu'aux temps des révolutions nationales, Alain Benajam corrige les contre-vérités et nous apprends à aimer la longue histoire de notre pays, la France.
Ce long entretien donne l'occasion à Adrien Abauzit d'analyser en détail la dérive oligarchique des classes dirigeantes françaises, et ce dans une vision historique du destin de la France.
D'autres thèmes sont égalements abordés, comme l'immigration, les racines catholiques de la France, et le problème du déracinement.
Le cri d'alarme est lancé : l'école publique en est arrivé à un tel niveau de décripitude qu'il est impératif d'entièrement une rénovation complète sous peine d'euthanasie du corps social.
En suivant un itinéraire de réformes égalitaristes (depuis le milieu des années 70) qui l'a logiquement amenée à niveller par le bas ses exigences, nous en sommes finalement arrivés à développer un modèle totalement inégalitaire.
C'est ainsi que notre école répond à un schéma ternaire:
- une école élitiste (secteur privé) pour les enfants des élites
- une école "au service de l’entreprise" pour les enfants de la classe moyenne productive
- une école "du vivre-ensemble" mâtinée de multiculturalisme