La pornographie aujourd'hui occupe une place importante au sein de notre société. Depuis la massification des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC), en particulier internet, elle a pris une ampleur incomparable à sa situation passée. Quelques statistiques pour en témoigner : d'après OnlineMBA, 12% des sites internet sont à caractère pornographique, 35% des téléchargements sont pornographiques et par ailleurs la pornographie sur internet génère 4,9 milliards de dollars.
La pornographie, devenue un phénomène social, économique et politique n'est donc plus un sujet que l'on peut éviter. Pour cette raison, ce débat est organisé dans l'espoir de mieux la comprendre.
Quel impact la pornographie a-t-elle sur la société et la vie sexuelle des individus ? Quel rapport avec l'économie et le marché en général ? Peut-on parler d'addiction à la pornographie ? Nos sociétés sont-elles hyper-sexualisées ou demeurent-elles encore pétries de tabous ? Le public de la pornographie est-il principalement masculin ? Et, surtout, peut-on imaginer une pornographie "féministe" ?
Il est difficile de définir le libéralisme, car on ne peut pas rattacher cette idéologie à un auteur unique. Elle est le fruit d’une longue construction théorique. En son essence, le libéralisme pose l’individu et ses libertés au centre du monde, et l’individu comme être antérieur à la société. La déclinaison économique de cette anthropologie est l’homo œconomicus, dont le but est de maximiser son intérêt bien compris.
Une conférence qui nous permet de saisir à quel point la conception libérale de l'homme règne aujourd'hui en maître dans le royaume des idées.
Alors que notre monde semble chaque jour plus instable, les deux intervenants -Olivier Kempf et l'amiral Jean Dufourcq- dressent un panorama de l'état géopolitique du moment.
Une manière de s'interroge sur les défis que notre système de défense aura à relever au sein de cette situation toujours en changement.
Le concept d' "aliénation" est depuis longtemps tombé en désuétude.
Pourtant, et à y regarder de plus près, il n'a peut être jamais été aussi performant que pour décrire notre monde toujours plus soumis à la logique libérale.
Charles Robin revient sur ces thèmes "michéens" pour continuer son analyse de notre société empêtrée dans ses contradictions libérales.
Suite à la sortie de leur ouvrage "La Grande dévalorisation. Pourquoi la spéculation et la dette de l'Etat ne sont pas les causes de la crise", Ernst Lohoff et Norbert Trenkle se prêtent au jeu des questions/réponses afin de préciser leurs positions théoriques au sein du mouvement de la critique de la valeur.
1. Les divergences avec Moishe Postone
2. Les divergences avec Robert Kurz dans son double article "La substance du capital"
3. Concept et crise du capital fictif
4. Perspectives politiques, transformation sociale et postcapitalisme (distinction entre valeur d’usage et richesse sensible matérielle)
Le localisme, tel que compris et défendu par Laurent Ozon, consiste à donner à chaque peuple la possibilité de subvenir à la part la plus importante possible de ses besoins par ses propres moyens. C’est une volonté de favoriser les circuits économiques courts, et ainsi d’assurer une autosubsistance relative capable de permettre aux populations de garder la maîtrise de leur destin.
Le localisme est la pierre angulaire de la décolonisation économique, condition indispensable de la souveraineté politique : c'est le moyen idéal pour favoriser l’embauche locale, accompagner des objectifs de qualité écologique, de protection sanitaire, de réhabilitation de la vie démocratique, de protection et de rééquilibrage social, d’inversion concertée des flux migratoires et de pacification rapide des relations internationale.
Un entretien constructif et ancré dans le réel pour anticiper les déstabilisations sociales et économiques à venir.