Comment comprendre les logiques de privatisation de l'école à l'oeuvre en Europe ?
Qui en a décidé ainsi ? Quelles en seront les conséquences ?
En effet, on observe depuis 20 ans une convergence des politiques d’enseignement dans les pays industrialisés. Et ce, malgré les particularités historiques du système éducatif de chacun de ces pays. Soit :
- décentralisation de l’enseignement
- règlementations plus strictes dans les pratiques pédagogiques
- glissement conceptuel de l’éducation, où l'école n'est plus une institution délivrant un savoir, mais un organisme formant à des "compétences"
- la stagnation ou réduction de la part du PIB investie en matière d’éducation
- l’entrée en force de l’évaluation à tous les niveaux de l’éducation
- l'intrusion massive des technologies de l’information et de la communication
- la privatisation de l’enseignement et la marchandisation de l'éducation
- la croissance de la fracture sociale
Ces effets ne sont pas le fruit du hasard, mais les résultats d'une volonté politique. Il faut comprendre ces logiques comme une conséquence de la crise du capitalisme ou les investisseurs recherchent des activités à forte valeur ajouté, comme le marché de l'éducation.
C'est ce qu'illustre la commission préparatoire au sommet de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) à Seattle en 1999 en pointant du doigt "les possibilités de libéralisation du marché mondial des services d'enseignement supérieur". Les recommandations de cette commission étant à peu de chose près les conséquences mesurées sur l'évolution des politiques d'enseignement des pays industrialisés...
Rencontre de fond avec Lucien Cerise qui nous parle de ses recherches sur l'ingénierie sociale et la cybernétique, soit les sciences d'arraisonnement et de sculptage des masses humaines.
Des méthodes de contrôle à connaître pour comprendre les moyens employés par l'oligarchie pour créer un homme nouveau "transhumaniste", jusque dans les rapports sociaux et l'intimité des personnes.
Pierre Hillard démarre la conférence en brossant un portrait de l'actualité mondialiste : redécoupage des régions françaises, traité de libre-échange transatlantique et conflit en Ukraine sont au menu.
Suit l'intervention de Michel Drac, qui se concentre sur une analyse plus conceptuelle du mondialisme. Il tente de nous en faire comprendre le sens au travers des quatre grandes méthodes historiques disponibles à ce jour : l'histoire événementielle, l'histoire infrastructurelle (point de vue marxiste, luttes des classes), l'histoire structuraliste (concepts socio-économiques) et l'approche mystique.
Au travers de cette conférence, les deux intervenants cherchent d'abord à nous fournir les armes intellectuelles qui nous permettront de comprendre la logique mondialiste, pour ensuite la combattre.
Une longue session de questions/réponses clot la rencontre.
La conférence est organisée par le Cercle Politzer.
Les deux volets des documentaires de Béatrice Pignède ont donné lieu à deux séances de projection/débat.
Avec l'aide d'Alain Soral et de Jacob Cohen, ils ont ensuite répondu aux questions du public, questions ayant pour thèmes principaux le sionisme, le judaïsme et la place de l'état d'Israël dans les grands bouleversements géopolitques actuels et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.
Alain Soral, l’essayiste le plus connu de la mouvance dissidente, adulé par les uns et honni par les autres, marque l’époque par ses analyses et ne laisse personne indifférent.
De l’UPR à Moualek en passant par Marine Le Pen et toutes les autres polémiques, il répond à tout avec sincérité, et sans langue de bois.
La cohérence de son discours et de son action sur la longueur ont enfin l'air de porter leurs fruits. Par son travail, il a notamment contribué à réintroduire une idée de la France chez des gens qui en avaient été privés.
Alain Soral : gauche du travail et droite des valeurs, pour une réconciliation nationale !
L'Union européenne est en crise.
Une crise identitaire avant d’être institutionnelle ou économique. Les résultats des élections européennes du 22 mai dernier l'ont une nouvelle fois montré. Le club d'épiciers baptisé "Union européenne" aura réussi le tour de force de transformer l'Europe en cauchemar pour ses peuples.
Les intervenants du colloque "Europe marché ou Europe puissance" réunis par la revue Éléments ont, chacun à leur manière, pointé les menaces de cette construction européenne, menée en dépit du bon sens, obsédée par les valeurs universalistes qui au bout du compte la nie.
Au terme de ce colloque qui a vu des personnalités d'horizons différents prendre la parole, le mot d'ordre général était : "Pour l'Europe, contre Bruxelles".
Alain Soral répond -en improvisation- aux nombreuses questions qui lui sont posées par des internautes :
0’53 - L’affaire de la fournée, la normalisation du FN et les antisionistes virtuels
13’15 - Le traité transatlantique, parachèvement du plan Marschall
24’15 - Les grands penseurs avant Clouscard
32’30 - Décadence culturelle française
39’07 - DSK, le film
46’56 - Vladimir Poutine Vs Elkabbach
55’42 - Alain Soral, anti-impérialiste éternellement lié à la France
59’10 - Unité de la spiritualité et de la politique
1’06’40 - Réelection de Bachar EL-Assad
1’14’25 - Le pape, traître au Christ et agent du droit-de-l’hommisme
1’18’00 - Coupe du monde de football et corruption du sport-spectacle
1’22’50 - Marc-édouard Nabe le graphomaniaque
1’26’33 - Banque alternative et insoumission économique
1’30’06 - Casapound, modèle contre-culturel spécifiquement italien
1’35’00 - National-socialisme nord-coréen Vs démocratie de marché états-unienne
1’47’10 - Les jeux de hasard, marqueurs de l’effondrement moral
1’49’20 - Le monde associatif et le réseau pour sortir de l’isolement social et politique
Aiguillé par de nombreuses questions précises et variées, Alain de Benoist revient sur son parcours intellectuel et aborde la question des religions, de la tradition, mais aussi de l’économie et de l’évolution des sociétés occidentales modernes.
Un moment délicieux et passionnant en compagnie d'un homme ayant voué sa vie au combat intellectuel.