Malgré les apparences, la "crise", le "danger islamiste", "l’invasion", etc., la principale menace pour nos libertés, notre prospérité et notre identité vient d’outre-Atlantique. Le rêve américain est devenu le cauchemar de la planète.
Les États-Unis ne sont pas seulement un ennemi qui vise à l’hégémonie mondiale, un supermodèle dont la façon de vivre infantilise l’univers, ils sont aussi la patrie du mondialisme, les parrains des nouvelles normes qui subvertissent le globe pour l’asservir.
Martin Peltier nous mène jusqu’à la racine religieuse de la chose : la théocratie américaine est judéo-maçonne et protestante, et cela en fait un monstre très semblable à l’islamisme radical qu’elle prétend combattre.
L’ingénierie sociale est la modification planifiée, durable et furtive du comportement. Il s’agit de modifier définitivement la nature d’une chose, de manière irréversible, sur le long terme. C’est ce qui distingue l’ingénierie sociale de la propagande et de la manipulation, dont les impacts sont ponctuels et réversibles.
Comment comprendre et se prémunir de telles manipulations dans le champ identitaire ? Se pourrait-il que certains combats qui nous semblent légitimes puissent être pilotés au profit d'acteurs "invisibles" ?
Si on considère que le mondialisme est le stade suprême de l'impérialisme, il faut envisager le Traité transatlantique comme l'aboutissment d'un des segments du mondialisme, en l’occurrence l'occidentalisme.
Alors pourquoi lutter contre le Traité transatlantique ? En effet, et malgré les mises en gardes provenant de différents milieux, il semble évident que nous n’empêcherons pas l’adoption de ce traité, s’il doit être adopté. La décision sera prise au plus haut niveau, et n’aura évidemment rien de démocratique.
Mais en informant la population, nous nous préparons à rebondir politiquement et culturellement sur les conséquences d’une éventuelle adoption, ce qui pourrait d’ailleurs peser indirectement sur le contexte général au sein duquel notre classe dirigeante devra définir ses choix.
Le djihadisme wahhabite, au travers de ses actions meurtrières revendiquées par Daech, se manifeste une fois de plus de façon spectaculaire, montrant à quel point il constitue une menace globale, ceci pour les musulmans en priorité.
Jean-Michel Vernochet produit une analyse approfondie de cette caricature d’islam, parce que théologiquement dévoyé. Pour ceux qui veulent comprendre les tragédies du Levant, du Caucase, d’Asie centrale et d’ailleurs, il est important de comprendre que le wahhabisme, doctrine qui prône l’obligation schismatique de la conversion par la violence, tend à s’imposer non seulement dans la Maison de l’Islam, mais aussi partout ailleurs comme étant la nouvelle orthodoxie.
Les drames inouï qui frappent les populations d'Irak et de Syrie apportent une nouvelle preuve de la diffusion de cette idéologie dévastatrice à l’échelle planétaire. Un phénomène dont il est indispensable de démêler les racines si l’on veut le contrer et le combattre partout où le danger grandit, à la périphérie des grandes cités européennes et dans les régions que menace le chaos de la guerre…
Alors que les signes d'une unification politique mondiale sont chaque jour plus manifestes, il est important de prendre du recul pour comprendre la logique profonde qui anime les élites qui nous gouvernent.
Le projet politique mondialiste est mis en lumière par Pierre Hillard, qui en fait la généalogie en s'appuyant sur la récente traduction française du livre "Histoire secrète de l'oligarchie anglo-américaine" de Caroll Quigley et Alain Soral, qui puise des exemples éloquents dans son combat personnel.
Une démarche qui permet d'allier théorie et pratique, afin que chacun puisse comprendre où se situent les enjeux actuels.
Alors que le processus d'adhésion de la Turquie à l'Union européenne est toujours en projet, il est bon d'essayer de comprendre les relations géopolitiques qu'entretiennent l'aire turque et le continent européen.
Malgré les volontés de rapprochement exprimées par plusieurs groupes organisés, il semblerait que les visions du monde de ces deux aires culturelles soient incompatibles.
Au-delà des actions politiques à courte vue, Aymeric Chauprade nous propose une réflexion qui s'insère dans l'histoire longue.
Emission du Libre Journal de Bernard Lugan.
Pierre Hillard nous présente le grand livre "Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine" de Carroll Quigley (1910-1977), professeur à l’université de Georgetown, paru en anglais après sa mort en 1981.
Grâce aux travaux de cet universitaire américain proche du pouvoir, il est désormais possible de mieux connaître les arcanes de ce monde oligarchique opaque dont l’action a été déterminante pour le monde anglo-saxon et, par ricochet, pour la planète entière.
Une émission qui retrace la montée et le maintien au pouvoir d'un groupe issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une certaine élite américaine.