Étudiant en lettres, section histoire romaine, Gabriele Adinolfi a débuté ses activités politiques durant les mouvements étudiants de la fin des années 1960. En 1968, il rejoint le Mouvement social italien (MSI), dans sa section "Filippo Anfuso" de Rome.
Exilé de son pays d'origine pendant de longues années, il a continué à mené une réflexion politique ancrée dans le leg de l'expérience fascite italienne.
Sa vision du monde a le mérite de s'opposer frontalement à la logique capitaliste néoliberale, qui reste le seul et vrai impérialisme aujourd'hui.
Une conversation radicale et hors des sentiers battus.
La société française est en état de décompositation avancée.
Alors que toutes les instances de pouvoir semblent plus que jamais vérouillées, que pouvons-nous espérer ?
Les nouveaux outils de communications, comme l'Internet, ont en tout cas le mérite de court-circuiter les média aux ordres du pouvoir.
Cette révolution de l'information suffira-t-elle à inverser le rapport de force ? Que pouvons-nous faire pour continuer le combat pour la France ?
Jean-Claude Valla (1944-2010) restera, devant l'histoire, comme l'une dey des figures les plus importantes et les plus attachantes de la Nouvelle Droite.
Son parcours personnel et son œuvre ne sauraient toutefois y être réduits. Militant nationaliste dans les années 1960, il fut dans la décennie suivante le chef de file incontesté du GRECE et le principal animateur, avec Alain de Benoist, d’un combat métapolitique qu’il devait illustrer en lançant la revue Éléments en 1973 et en dirigeant les rédactions d’hebdomadaires aussi prestigieux que Le Figaro Magazine ou Magazine Hebdo.
Meneur d’hommes qui savait allier la délicatesse à la fermeté, Jean-Claude Valla était un grand journaliste, doublé d’un historien non conformiste et scrupuleux.
C'est ce parcours hors normes que viennent nous conter Alain de Benoist, Pierre Vial et Michel Marmin, tous amis proches et compagnons de combat de Jean-Claude Valla.
L'émission s'articule autour du célèbre livre de Hongbing Song qui a fait bouger les lignes économiques officielles de régime chinois, et depuis peu disponible en français aux éditions Le Retour aux Sources.
Vendu à plus de 2 millions d'exemplaires en Chine, "Currency Wars" déroule l'histoire de la grande cabale monétaire qui a façonné le monde depuis plus de deux cents ans, de la constitution de la dynastie des Rothschild à la fin du 18e siècle jusqu'à la crise de 2008.
Livre de chevet des membres du Comité Central du Parti Communiste et des banquiers chinois, "La Guerre des Monnaies" a fait comprendre aux dirigeants de la future première économie mondiale qu'une guerre redoutable livrée dans les coulisses du pouvoir, suivant un axe Londres/Wall Street, tentait d'établir coûte que coûte un nouvel ordre mondial au profit d une oligarchie financière sans foi ni loi.
L'avenir nous dira si cette lecture a été profitable à la futur première puissance économique mondiale !
Une émission menée par Jean-Louis Roumégace.
Bernard Wicht propose une réflexion originale sur le sens de l'histoire européenne et sur le devenir de nos sociétés.
Il observe de près le rôle que les guerres ont menées dans le développement de nos états modernes.
C'est ainsi que son dernier livre a comme sujet central la nation de citoyen-soldat, alors que les armées nationales sont en train de disparaître/ont disparu dans la plupart des pays d'Europe.
Apparu sur le devant de la scène avec la Révolution française, le citoyen-soldat est le reflet de la souveraineté populaire et nationale, l'expression de l'idée républicaine que le pouvoir n'appartient pas principalement à l'Etat mais aux citoyens. Sa disparition progressive aujourd'hui signifierait-elle alors une éclipse de la démocratie ?
Nous ne sommes plus en 1789, ni non plus à l'âge des révolutions et des idéologies. C'est plutôt le chaos qui caractérise notre époque, avec le déclin de l'Etat moderne, l'atomisation du corps social et la fin de l'idéal national.
Par conséquent, s'interroger sur le citoyen-soldat à l'heure actuelle, c'est se demander quelle "cause" défendre de nos jours alors que les maîtres mots sont sécurité et risque zéro.
Antoine Cholet s’interroge sur l’identité politique de la Suisse : est-elle une nation ? C'est donc à une enquête que nous sommes ici conviés.
Le conférencier commence par définir son concept de la nation, qu'il articule autour de quatre éléments: un état centralisé, un territoire, une histoire et un peuple.
De cette définition naît l'ambiguité : il manque en effet ces quatre éléments -dans leur plénitude- à la Suisse. En fait d’état centralisé, on trouve plutôt un pouvoir central faible, débordé à la fois par des cantons ayant conservé de nombreuses prérogatives et par des associations privées redoutablement efficaces. Son territoire n’est que le résultat hasardeux de traités d’entraide successifs ; son histoire est marquée par la désunion et les guerres; quant au peuple suisse, il faut avoir une imagination fertile pour en concevoir concrètement l’existence. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé de combler cette "fêlure nationale" en édifiant des mythes politiques rassembleurs, parmi lesquels la neutralité armée, le consensus, le fédéralisme ou la démocratie. Mais force est de constater que cette mythologie tourne parfois à vide…
En confrontant, sans langue de bois, la Suisse au concept de nation, Antoine Cholet démontre les limites d’une telle perspective. Mais ce n'est pas pour considérer cette "fêlure nationale" comme un problème, mais plutôt comme une chance pour le pays de dépasser une construction nationaliste insatisfaisante.
Comment comprendre l'apparent "détournement" du "printemps arabe" ?
Les démocraties et les droits de l'homme ne devaient-ils pas remplacer les vieux régimes poussiéreux du maghreb du moyen-orient ?
Aux termes de deux ans de conflits, il semblerait que ce soit plutôt les mouvements islamistes qui s'imposent sur la décomposition des derniers régimes arabes laïques.
Une conférence importante pour comprendre les réalités du monde arabe contemporain.
Alain Soral répond -en improvisation- aux nombreuses questions qui lui sont posées par des internautes :
0’53 - L’affaire de la fournée, la normalisation du FN et les antisionistes virtuels
13’15 - Le traité transatlantique, parachèvement du plan Marschall
24’15 - Les grands penseurs avant Clouscard
32’30 - Décadence culturelle française
39’07 - DSK, le film
46’56 - Vladimir Poutine Vs Elkabbach
55’42 - Alain Soral, anti-impérialiste éternellement lié à la France
59’10 - Unité de la spiritualité et de la politique
1’06’40 - Réelection de Bachar EL-Assad
1’14’25 - Le pape, traître au Christ et agent du droit-de-l’hommisme
1’18’00 - Coupe du monde de football et corruption du sport-spectacle
1’22’50 - Marc-édouard Nabe le graphomaniaque
1’26’33 - Banque alternative et insoumission économique
1’30’06 - Casapound, modèle contre-culturel spécifiquement italien
1’35’00 - National-socialisme nord-coréen Vs démocratie de marché états-unienne
1’47’10 - Les jeux de hasard, marqueurs de l’effondrement moral
1’49’20 - Le monde associatif et le réseau pour sortir de l’isolement social et politique