Les sayanim -informateurs en hébreu- sont des Juifs de la diaspora qui, par "patriotisme", acceptent de collaborer ponctuellement avec le Mossad, ou autres institutions sionistes.
Leur nombre en France se situerait, selon les auteurs, autour de trois mille. Ils se recrutent principalement au sein du Bnaï Brit (franc-maçonnerie juive internationale) et autres organisations juives nationales.
Jacob Cohen nous raconte son expérience dans le milieu de la franc-maçonnerie de l'influence de certains lobbies juifs sur la politique française.
Les deux exposés d'Annie Lacroix-Riz et de Jacques Nikonoff visent à mettre en évidence les continuités historiques de la politique allemande depuis la fin de la première Guerre Mondiale jusqu’au début de la construction européenne, depuis l’hyperinflation des années 20 jusqu'aux déflations salariales et délocalisations contemporaines. Soit le dilemne d'une nation dont le projet de domination impériale n'a jamais déserté ses classes dirigeantes.
Il existe bien un antisémitisme en France aujourd’hui : les néo-nazis, les négationnistes, les nostalgiques du pétainisme... pas grand monde, et sans grande influence.
Mais quand on fait état d’une "montée" de l’antisémitisme, c’est pour stigmatiser la jeunesse des quartiers populaires, les arabes et les noirs, qui ne sont pas antisémites : ils sont solidaires des palestiniens opprimés, ce qui n’est pas la même chose.
Cet entretien explore les motifs et les méthodes de ceux qui cultivent et exploitent cet amalgame pervers.
La conférence d'une quarantaine de minutes porte sur la crise de l'Euro et de l'Europe.
Elle est suivie des questions des auditeurs qui ont permis, pendant plus d'une heure, d'aborder un grand nombre de sujets : sortie de l'Europe, sortie de l'OTAN, FN, la dette américaine, la loi de 73, les banques, la loi Gayssot et bien d'autres sujets en lien avec le programme de DLR.