S'il est un bien une thématique utilisée par le pouvoir pour masquer ses défaites depuis 30ans, il s'agit de l' "antiracisme".
Après le "tournant de la rigueur" du Parti Socialiste en 1983, un "antiracisme institutionnel" c'est progressivement mis en place et a eut pour effet de dresser les populations immigrées contre le peuple français "de souche". L'immigration était alors devenue une œuvre progressiste en soi, en danger constant des colères irrationnelles d'un peuple inculte et raciste, soit le portrait-robot des futurs électeurs du Front National.
Cette manipulation malsaine n'a eu pour seul effet que de monter certains segments des classes populaires contre les autres, pour le plus grand profit des classes dirigeantes.
Détricotage de l'arnaque par Alain Soral et Mathias Cardet.
En 1861, le royaume indépendant d’Italie est proclamé et dix ans plus tard il se donne Rome comme capitale. Un nouvel Etat apparaît sur la scène internationale grâce son réveil national et à l’appui des grandes puissances européennes.
Gilles Pécout, historien de l’Italie contemporaine, met en lumière la construction nationale italienne, son idéologie, ses conquêtes militaires et politiques.
Qu’est ce que le Risorgimento ? Quelles furent les relations franco-italiennes au XIXe ? Est-ce à dire que l’Italie a définitivement retrouvé comme État son ancestrale unité nationale dans la réalité comme dans le discours ?
Le débat organisé fait suite à une longue série historique conduite par Henri Guillemin, relatant le climat des années 30 et l'arrivée au pouvoir du Maréchal Pétain.
L'interprétation de l'épisode de la collaboration et les intentions qu'Henri Guillemin prête aux acteurs historiques sont vivement critiquées par plusieurs des intervenants présents.