Une série d'émission pour faire le point sur la thématique de l'Empire, l'une des 3 grandes formes politiques que l'histoire a sécrétées.
De grands historiens comme Henry Laurens, Gilles Veinstein ou Olivier Pétré-Grenouilleau s'interrogent sur la naissance et la chute de telles structures de pouvoir, ainsi que sur l'organisation concrète que les différents exemples historiques nous enseignent.
Une conférence qui permet de faire le point sur les politiques impérialistes actuellement à l'oeuvre.
Pierre-Yves Rougeyron étudie principalement l'impérialisme etats-unien et les différentes tendances présentes au sein de l'administration du pays (les stratèges Henry Kissinger, Zbigniew Brzezinski et Samuel Huntington).
Une émission se proposant de revenir sur l'histoire de France et de distinguer les événements réels des mythes qui peuplent son roman national.
Des gaulois à Clovis, d'Etienne Marcel à l'émergence du sentiment national avec Jeanne d'Arc jusqu'aux temps des révolutions nationales, Alain Benajam corrige les contre-vérités et nous apprends à aimer la longue histoire de notre pays, la France.
L’oeuvre d’Alexandre Douguine nous invite à la fois à un dépassement des trois idées politiques caduques que sont le libéralisme, le socialisme et le fascisme, à une réflexion géopolitique sur la théorie des grands espaces et à une tentative de transposition politique de la pensée métaphysique d’Heidegger.
Ces réflexions d’un penseur majeur de la Russie contemporaine peuvent-elles et doivent-elles inspirer les nationalistes français ?
Après examen de notre histoire politique européenne, on constate rapidement qu'il n'existe que deux grands modèles d'organisation politique : la nation (précédée par le royaume), et l’Empire.
Et si la forme nationale n'était qu'un produit de la modernité, fruit d'une "métaphysique de la subjectivité" ? Et si notre renouveau viendrait du principe impérial ?
C'est en tout cas ce que défend Alain de Benoist dans cette émission.
Après une courte introduction sur le thème de la chevalerie chrétienne par Constantin Parvuleso, Alexandre Douguine entame son exposé.
Celui-ci nous rappelle les devoirs envers la cité qui incombent aux chrétiens et à l'Eglise. Ces devoirs, bien que combattus par notre modernité athée n'en constituent pas moins une obligation salutaire pour les croyants ainsi que pour la société.
C'est donc à un combat que nous invite Alexandre Douguine, combat pour la vraie foi et pour la vérité au sein d'un monde déchu qui n'autorise l'expression de la religion plus que dans la sphère individuelle.
A bon entendeur...