Argumenter contre le transhumanisme. Avec Lucien Cerise pour E&R Normandie.


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30.01.2016

Depuis plusieurs années, les travaux de Lucien Cerise, initialement focalisés sur les techniques d'ingénierie sociale, ont permis de mieux comprendre les ambitions de la pensée transhumaniste, qui synthétise les velléités de contrôle des peuples avec les potentiels de la technoscience.
Car s'il s'agissait seulement d'encourager de nouveaux développements scientifiques, son intérêt serait mineure : cette entreprise entend plutôt produire une théorie unifiante qui permette aux nombreux décideurs d'imaginer un futur où l'humanité serait redéfinie selon leurs besoins.
Une réflexion salutaire qui nous fournit des armes pour combattre et résister.

La véritable histoire de Daech. Avec Youssef Hindi et Jean-Michel Vernochet chez E&R à Nantes.


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13.02.2016

Le Moyen-Orient, région traversée par les grands empires depuis l’Antiquité et où convergent les destinées du monde, a vu naître Daech, fils d’Al-Qaïda et de la CIA et petit-fils du wahhabisme. Cette entité qui paraît surgir du néant offre un spectacle apocalyptique dont nous avons parfois du mal à comprendre le sens.
Pour cela, nous devons remonter aux origines du wahhabisme, cette doctrine que l’islamologue Jean-Michel Vernochet a identifiée comme étant un véritable "contre-islam" ayant pour vocation de détruire la religion musulmane de l’intérieur. Les massacres de masse, les destructions, la rage meurtrière de ces hordes téléguidées depuis Riyad, Doha et Washington et assistées par Tel Aviv, contre la Libye, la Syrie et l’Irak, ont donc une cause et une finalité autant politique qu’eschatologique.
Car derrière la montée en puissance de Daech, l’Etat Islamique, ne faut-il pas également voir la réalisation du plan Oded Yinon appelant au dépeçage du Proche Orient ? C'est en tout cas la thèse que développe le chercheur Youssef Hindi.
Enfin, des parallèles frappant sont tracés entre le bolchévisme du début du XXe siècle et Daech, nouvelle entité révolutionnaire messianique de notre temps.

Les origines occultistes de la franc-maçonnerie. Avec Jean-Claude Lozac'hmeur chez E&R à Lille.


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19.12.2015

Le professeur médiéviste de l’université de Rennes 2 Jean-Claude Lozac’hmeur, n’a rien contre les francs-maçons. Ce qui le gêne, c’est la franc-maçonnerie en tant que réseau occulte, et son but caché...
 "... Une organisation totalitaire du monde, d’où toute notion de primauté d’une nation sera exclue... Elle se réalisera inéluctablement, à son heure qui n’est pas encore venue et qu’il ne servirait à rien de vouloir avancer, car il ne faut cueillir que les fruits mûrs..."

L'avenir de la dissidence. Avec Alain Soral et Dieudonné à L’Heure la plus sombre pour E&R.


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13.03.2016

Pour ce 28ème numéro de L’Heure la plus sombre, Vincent et Xavier recoivent Dieudonné et Alain Soral.

Au sommaire de l’émission :
 - Introduction
 - 01’08 : Dieudonné en paix, la bande annonce
 - 04’20 : Dernier spectacle ?
 - 05’46 : Le rôle d’Internet
 - 12’00 : La paix ?
 - 14’45 : Un travailleur acharné
 - 16’57 : Où sont les quenelles ?
 - 20’46 : Peur de la mort ?
 - 22’30 : Coluche
 - 24’55 : Devoir de mémoire ?
 - 27’26 : L’agression en Martinique
 - 28’00 : Les Békés
 - 31’18 : Les raisons de la colère
 - 32’21 : Invité surprise !
 - 32’47 : Diviser pour régner
 - 36’00 : Réconciliation nationale
 - 36’46 : La dictature de couilles molles
 - 39’46 : Vers un effondrement ?
 - 41’05 : Le combat de la postérité
 - 43’18 : La France juive (de BHL !)
 - 51’05 : Repositionnement stratégique
 - 52’52 : Yonathan
 - 55’22 : Une note d’espoir
 - 56’56 : La fin des temps
 - 59’25 : L’état d’urgence sur Internet
 - 1’00’00 : Dictature
 - 1’03’05 : www.dieudosphere.com
 - 1’03’35 : Stéphane Blet, Khatchaturian Toccata, album Figure Libre, Kontre kulture Musique.

Les guerres franco-allemandes au service de l'empire. Avec Yves Caron pour E&R.


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01.2016

Le professeur Yves Caron, né dans la Somme entre les deux Grandes Guerres, est originaire d'un lieu façonné par sa géographie et son histoire. Durement touchée par le conflit franco-prussien de 1870 d’abord, par la Première Guerre mondiale ensuite, sa terre natale est parsemée de nécropoles, cimetières de la jeunesse européenne qu’il ne peut évoquer sans émotion. Ses recherches et sa carrière l’ont ensuite mené aux quatre coins de la France et ailleurs, mais c’est elle qui décida de sa vie et de son engagement.
Enfant balloté par la guerre, il ne va que très peu à l’école. Muni du seul brevet élémentaire, qui à l’époque donnait capacité d’enseignement, il devient instituteur, puis reprend en autodidacte ses études, passe son bac, obtient plusieurs licences, et soutient finalement une thèse de doctorat en histoire. Polyglotte, grand lecteur, Yves Caron a amassé une impressionnante quantité d’informations, puisées à différentes sources, qui l’ont mené à une certitude qu’un impérieux besoin de justice a transformée en combat : la réhabilitation de ceux qu’il appelle "nos cousins germains". Qui sont les véritables responsables du déclenchement des trois guerres qui nous ont opposés à eux ? La guerre de 14, "d’où vient tout le mal", était-elle évitable ? Quels en étaient réellement les enjeux ? Après avoir brossé le tableau des relations internationales d’alors, en particulier entre les grandes puissances de l’époque – France, Allemagne, Grande-Bretagne et Russie –, le professeur Caron nous rappelle que le terrain de leurs rivalités était en réalité bien plus grand que celui de la seule Europe. C’est en Afrique et dans la péninsule arabique que les plus importantes luttes impérialistes se jouaient. C’est là que se nouèrent pendant la Première Guerre mondiale, sur la dépouille de l’Empire ottoman, les drames qui sont la cause, aujourd’hui encore, des innombrables conflits qui émaillent la région. Déclaration Balfour, Traité de Versailles, cette guerre s’acheva en semant les graines de la suivante.
De même que deux générations de Français avaient été élevés dans la haine de leurs voisins avant la première Grande Guerre, on prépara les esprits pour la Seconde. La propagande américaine disposait pour cela d’une formidable machine : Hollywood. Une fois de plus, on attisa les foules pour les faire consentir au sacrifice suprême. Mais ceux qui ont vécu là, ceux qui ont vu, lorsqu’on les laisse parler, racontent parfois une tout autre histoire. Chercheur de vérité, le professeur a quitté ses livres et est allé dans les villages questionner ceux que l’on a fait taire ; criant dans le désert, résistant à sa manière, il veut faire entendre leurs voix devenues muettes.
Indigné par tous les silences de l’histoire – cette mythologie des vainqueurs – le professeur Caron nous rappelle aussi le martyre des Allemands. Ceux de la Volga d’abord, communauté piégée au sein de l’Union soviétique, considérée comme ennemie et déportée en août 41 en Sibérie. Mais le centre de ses intérêts, tellement tabou qu’il ne put trouver un professeur prêt à l’accepter comme sujet pour sa thèse de doctorat, concerne le calvaire des Allemands de Prusse orientale, Poméranie et Silésie, victimes de ce qu’il considère comme l’un des plus grands génocides de l’histoire. Le nettoyage ethnique de ces terres, planifié lors de la conférence de Yalta en janvier 45, fut mis en œuvre par l’Armée rouge. Beaucoup furent massacrés, les plus chanceux réussirent à fuir vers l’ouest, les autres furent déportés, les femmes violées, les maison pillées. Cette épuration, qui visait à vider ces régions de ses habitants pour les offrir aux Polonais, aux Russes et aux Tchèques, fut entérinée par les accords de Potsdam en 46. Seize millions d’Allemands en furent victimes. Seize millions, dont trois millions périrent et dont plus personne ne parle aujourd’hui.
Oubliés, comme ont été oubliées les victimes allemandes des troupes françaises et américaines après la Libération. Oubliés, comme ont été oubliées les victimes françaises de l’épuration. Ce sont tous ces oubliés, morts une seconde fois de ne pas exister dans nos mémoires, qui donnent à ce professeur si attachant la force de témoigner encore de ce qu’il a vu, de ce qu’il a entendu, de ce qu’il a compris. Entouré de ses 30'000 livres, vibrant à l’évocation de ses souvenirs, érudit et tellement sincère dans ses indignations comme dans ses attendrissements, le professeur Caron est lui-même un livre vivant, que nous avons l'honneur d'écouter.

Face au mondialisme : que reste-t-il du pouvoir politique et économique de la France ? Avec Michel Drac chez E&R à Dijon.


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15.11.2015

Le titre de cette intervention peut paraître étrange : comment peut-on comparer une puissance -la France-, et une idéologie -le mondialisme- ?
En fait, Michel Drac va nous montrer que la France s'oppose aujourd'hui aux puissances qui instrumentalisent le mondialisme pour l'affronter.

Comment ré-informer autrui ? Avec Lucien Cerise pour E&R à Dijon.


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25.04.2015

Aujourd'hui, le Pouvoir gouverne par le chaos et le pilotage de la guerre de tous contre tous. Autrement dit, le Pouvoir ne fait plus la guerre directement, mais il veut nous faire faire la guerre à sa place, c’est-à-dire qu’il cherche à nous entraîner au moyen d’appâts dans des conflits dont il sera le chef d’orchestre inapparent. Application systématique d’un "diviser pour régner" furtif, ni vu, ni connu.
Pour ne pas se laisser hameçonner et entraîner de manière subliminale dans des conflits triangulés, un travail de ré-information est nécessaire. La notion de ré-information, qui succède à l’information et à la désinformation, est bien connue, mais pourquoi parler de "ré-information active" ? Parce que, dans un premier temps, la ré-information est seulement "défensive". On se ré-informe en partageant des informations entre gens qui pensent la même chose. Or, ce n’est plus suffisant aujourd’hui et il faut passer à la vitesse supérieure : chacun doit devenir lui-même un agent actif de ré-information autour de lui, dans la famille, chez les amis, au travail, sur les réseaux sociaux.
Il faut devenir un agent d’influence, un spin doctor, en se formant aux méthodologies de retournement de l’opinion et d’ingénierie sociale appliquées dans les think tanks. Cela revient à fonctionner sur le mode du réseau de Renseignement, comme le font les lobbies et les sociétés de pensée, qui ont quelques longueurs d’avance sur le bon peuple, peu habitué à ce qui ressemble fort à une double vie et à des relations empreintes de faux-semblants. Mais nous n’avons pas le choix : reprendre le pouvoir se fera dans l’institution, en élaborant une vraie stratégie d’infiltration du Système et de contamination virale et capillaire.
Cet atelier a pour objectif de lancer une dynamique stimulante de passage à l’action, appuyée sur l’observation des bonnes pratiques de communication qui permettent de se réarmer mentalement, et surtout de réarmer notre entourage afin de gagner la guerre culturelle, au sens de Gramsci, qu’on appelle aussi guerre de l’information, guerre psychologique, guerre cognitive. Le but final est simple : imposer notre hégémonie culturelle pour endiguer celle du mondialisme et de ses diverses facettes morbides. Concrètement, localement, appliqué au cas français, cela signifie en finir totalement avec la pensée libérale-libertaire issue de Mai 68 et donc de "dé-soixante-huitariser" définitivement les esprits, au nom de la lutte contre le capitalisme et ses dérives transhumanistes.
N’attendez plus, ré-informez !

Actualité française et internationale. Avec Alain Soral à L’Heure la plus sombre pour E&R.


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18.01.2016

Pour ce 20ème numéro de L’Heure la plus sombre, Alain Soral, président d’Egalité & Réconciliation, est invité pour commenter avec lui l’actualité politique.
Au sommaire de l’émission :
 - Introduction 
 - 03’13 : Bilan de l’année 2015
 - 10’15 : Le consensus contre l’islam 
 - 14’31 : Vers une guerre civile programmée ? 
 - 20’00 : La situation explosive en Corse 
 - 25’33 : Les élections au Venezuela : quel avenir pour le chavisme ? 
 - 36’11 : Donald Trump, l’ovni américain 
 - 41’41 : Daech, bientôt en Libye ? 
 - 48’15 : Une lueur d’espoir ? 
 - 52’20 : Minos Herbes, Dents de l’ombre, album Nano (disponible sur Kontrekulture.com)