Europe : des héritiers sans passé. Avec Françoise Bonardel aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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12.01.2011

Françoise Bonardel s’interroge sur les finalités de la culture (identité, sagesse), et les raison qui ont mené au déclin du creuset culturel européen.
Ne pourrions nous pas imaginer une voie qui serait proprement européenne, où la renaissance spirituelle se déploierait à travers la "grande culture" de la Renaissance et des Lumières, à mi-chemin entre ces deux écueils que sont l’enracinement patriotique et le relativisme d’une société de consommation mondialisée ?

14-18 : la victoire de l'homme sur la ferraille. Avec Philippe Grasset aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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17.10.2009

Après un passage en revue de la situation géopolitique internationale et des orientations du nouveau gouvernement Obama, Philippe Grasset nous entraîne, suite à la parution du livre "Les âmes de Verdun : la victoire de l'homme sur la ferraille", au coeur du premier grand conflit de la modernité : la bataille de Verdun.
C'est l'occasion de poser un regard nouveau sur cet affrontement et sur la période d'avant-guerre qui la précède, non pour en souligner l' "absurdité" -comme il est coutume de le faire-, mais pour les replacer dans la grande marche en avant du progrès technique qui viendra broyer les communautés humaines au travers de son déploiement.

La guerre. Avec Jean-François Gautier aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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22.09.2010

En partant du célèbre fragment d'Héraclite "Polemos pantin pater est", Jean-François Gautier développe une réflexion sur la guerre en particulier, et le conflit en général.
Pour saisir la portée de la pensée héraclitéenne de la guerre, il nous explique la nécessité d'inclure dans l'intellection de polemos son exact opposé, eïréné, la paix.
Une pensée vivante et pertinente qui tente de saisir le monde dans la pluralité des valeurs qui y sont contenues et qui s'expriment souvent au travers de conflits.

Le nouveau gouvernement du monde. Avec Georges Corm aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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17.11.2010

Alors que la crise de 2007-2009 a révélé à tous les méfaits de la mondialisation et de la spéculation financière, rien ne change, malgré les dénonciations qui se multiplient de tous bords depuis des années.
Pour comprendre les racines de cette inertie mortifère des décideurs économiques et politiques mondiaux, Georges Corm explore les mécanismes permettant la reproduction de cette "civilisation des affaires en déclin". Il analyse les sources intellectuelles de ce pouvoir mondialisé : le néolibéralisme se nourrit d’un idéalisme simpliste, mysticisme virulent qui rappelle l’esprit doctrinaire du socialisme "scientifique".
Cette économie-fiction néolibérale, décalque inversé de l’économie-fiction marxiste, a envahi les cours de millions d’étudiants en économie et gestion, futurs cadres militants du pouvoir mondialisé.
S’appuyant notamment sur son expérience de consultant international, Georges Corm propose également une analyse mordante de la structure et du fonctionnement de ce pouvoir et de ses horizons culturels. Et, donc, de sa capacité à bloquer les changements, mais aussi de ses failles, que devraient exploiter les mouvements "antisystémiques", dont il évalue les alternatives qu’ils proposent au fonctionnement pervers de l’économie globalisée.
Il plaide ici pour une "démondialisation" raisonnée des esprits et des systèmes économiques dans un monde ouvert, pour une économie solidaire et humaine par le rétablissement des cohérences spatiales, la fin des dogmatismes et la réhabilitation des valeurs d’éthique et d’équité dans l’enseignement de l’économie.

La nouvelle Europe : Paris-Berlin-Moscou. Avec Marc Rousset aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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04.06.2009

Marc Rousset, au travers de la présentation de son dernier livre, essaie de comprendre la crise du continent paneuropéen dans le choc des civilisations.
Cet industriel de haut rang (il a occupé pendant 20 ans des fonctions de Directeur Général dans des groupes multinationaux) pose un diagnostic sans concession et propose des remèdes à la crise généralisée de notre espace européen.
Le redressement passera par l'axe Paris-Berlin-Moscou ou ne sera pas !

La tragédie du Kosovo. Avec Slobodan Despot aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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06.04.2009

Alors que le projet de constitution d'un Kosovo indépendant et souverain vient d'être signé avec les bénédictions de l'Union européenne, assistons-nous à la fin définitive de la présence serbe dans cette province ?
L'écrivain, traducteur et éditeur Slobodan Despot nous révèle le rôle géopolitique des guerres balkaniques récentes (disclocation de la Yougoslavie) dans le jeu impérialiste américain.
En fin d'émission, l'actualité éditoriale de Xénia -maison d'édition de Slobodan Despot- est abordée. C'est le prétexte à plusieurs digressions, principalement sur le système politique suisse et la sortie du manifeste politique de Theodore "Unabomber" Kaczynski !

Le siècle de 1914. Avec Dominique Venner aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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15.04.2010

La guerre de 1914 fut l'événement fondateur du XXe siècle. Après avoir tué neuf millions d'hommes, cette guerre liquida les trois empires et les aristocraties qui charpentaient l'Europe.
De ce séisme, tout le reste a procédé : de terribles colères et d'immenses espoirs, la montée des utopies révolutionnaires et l'avènement de régimes nouveaux, puis une Seconde Guerre mondiale plus destructrice encore que la Première.
Elle engendra le déclin de l'Europe, la décolonisation, la destruction de la sociabilité européenne, l'américanisation des mœurs, l'immigration et le terrorisme.
Après 1918, sur les décombres de l'ancienne Europe, quatre figures, le président américain Wilson, Lénine, Mussolini et Hitler ont incarné les grandes utopies du XXe siècle. Ils sont à l'origine de la lutte sans merci de quatre systèmes rivaux. De celle-ci, qui occupa une large partie du siècle, est issu le monde dans lequel nous vivons.

De Gaulle, la grandeur et le néant. Avec Dominique Venner aux Chroniques de la Vieille Europe sur Radio Courtoisie.


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10.11.2004

Alors que tout semblait avoir été dit sur de Gaulle, Dominique Venner se propose d'analyser la part de responsabilité du général dans la mort de notre nation, sa transformation en société anonyme réduite à un marché, de surcroît envahie et profanée.
La thèse qu'il propose se résume ainsi : le rêve de grandeur personnel du premier président de la 5e République s'est souvent retourné contre la nation qu'il était censé incarner.
La santé d'une nation se juge à l'énergie vitale de son peuple, à sa cohésion et à la conscience forte de son identité. Et l'honnêteté nous oblige à dire que le Général, à l'heure de son départ, a laissé le pays exsangue.
Au-delà du mythe, que reste-t-il de De Gaulle ?