Les fêtes païennes des quatre saisons. Avec Pierre Vial sur Radio Plaine.


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2008

Le christianisme, lors de sa conquête du sol européen, a récupéré et intégré des formes de sacralité s’exprimant dans la vie des communautés populaires.
On retrouve donc dans le calendrier des fêtes "chrétiennes" de nombreuses traces de fêtes païennes ancestrales.
Il est intéressant d'en comprendre la signification et de les remettre dans la perspective des mentalités païennes qui les avait produites.

L'affaire Jésus. Avec Henri Guillemin au Club 44 à la Chaux-de-Fonds.


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18.05.1981

Henri Guillemin fait ici la critique historique de l’histoire sainte, puis celle de la pratique chrétienne au XIXe siècle notamment, avant de livrer sa profession de foi.
Après la description des sources et la critique historique des documents attestant de la vie de Jésus, il retrace la biographie de "Joshua ben Josef" jusqu’à une description clinique et lyrique de la torture de la croix.
En seconde partie, Henri Guillemin décrit l’incohérence et l’hypocrisie de l’alliance du trône et de l’autel dans l’application de la parole chrétienne, à l'aide de plusieurs exemples historiques.
Il clôt cet exposé en récitant sa propre profession de foi, qui se veut être celle d’un "homme de bonne volonté".

Du bon et du mauvais usage de la liberté. Avec Arnaud de Lassus à Caussade.


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06.03.1999

Une certaine modernité a érigé la "Liberté" au rang de valeur suprème.
Arnaud de Lassus, de son point de vue de catholique traditionaliste, nous propose une critique argumentée des conceptions politique (libéralismes politique et économique) et théologique (modernisme) qui découlent de se postulat, en s'appuyant sur la doctrine de l'Eglise catholique.

La violence monothéiste. Par Jean Soler.


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2009

Bien loin d'avoir offert le premier exemple d'une moral universelle, Jean Soler se propose de montrer que les prescriptions qui y sont contenues ne regardent pas l'humanité mais la tribu, le local, dont il faut assurer l'être, la durée et la cohésion.
L'amour du prochain ne concerne alors que le semblable -soit l'hébreu-, et la violence envers "les autres" y est admise, voire conseillée dans certains cas.
La conférence se déroule dans le cadre du séminaire René Scherer à Paris VIII.

La Culture Gréco-Latine, héritage du christianisme. Avec Pierre Magnard pour l'Institut Philanthropos.


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2013

Comment penser l'héritage gréco-latin dans l'histoire du christianisme ? En quoi le message chrétien est-il redevable à ces deux grandes civilisations ?

Apologétique de la foi chrétienne. Série de conférences d'Henri Blocher à l'Eglise Baptiste Le Tabernacle à Paris.


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1986

"Mais sanctifiez dans vos coeurs Christ le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l'espérance qui est en vous" 1 Pierre ch3 v15

La gnose. Avec Etienne Couvert et Serge de Beketch sur Radio Courtoisie.


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1994

La Gnose (connaissance), se présente comme une transcendance réservée à des initiés, une connaissance ésotérique des pensées divines.
C'est un principe radicalement opposé à la doctrine chrétienne ayant régulièrement "contaminé" la saine doctrine dispensée dans l'Eglise.
Etienne Couvert explique donc ici l'histoire et l'actualité de cette hérésie.

27 novembre 1095 : Urbain II lance la première croisade. Avec Jacques Heers sur Canal Académie.


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2005

Evocation importante des circonstances et du déroulement de la Première Croisade dans les toutes dernières années du XIe siècle, ainsi que des contre-vérités continuant à se dire à ce sujet :
 - le terme de Croisade n'a pas été utilisé pendant les premières croisades. On parlait de "pèlerinage", puis de "voyage outre-mer"
 - on ne peut pas parler de "conquête" mais de "reconquête" : lorsque les croisés arrivent à Antioche, la ville n'est occupée par les musulmans que depuis 15 ans. La prise de Jérusalem, elle, se fait contre les armées égyptiennes qui n'ont repris la ville aux turcs que depuis 1 an !
 - la guerre féodale, encadrée par la "paix de Dieu" appliquée strictement, était non seulement loin de la barbarie habituellement dépeinte, mais moins violente que la guerre moderne : elle épargnait certains lieux, certaines catégories de la population (femmes et enfants en particulier), et certains jours de la semaine
 - la numérotation des croisades est ridicule et non historique.
 - les Croisades ont été un "succès", dans la mesure où elles ont permis de rétablir durablement la liberté de "pèlerinage"
 - les Croisades ont probablement retardé de 400 ans la chute de Constantinople - malgré le faux paradoxe de la prise de la ville par les croisés
 - lors de la première croisade, et de l'appel de Clermont, on ne part pas combattre l'Islam ou les musulmans, puisque cette religion était tout bonnement inconnue par les foules en Occident
Cet évènement majeur pour la chrétienté occidentale et orientale s'inscrit bien dans un contexte et une continuité méconnus que l'historien Jacques Heers nous rappelle fort à propos.