Maxence Caron s'entretient avec Marc Fumaroli : voyage dans l’inhérente liturgie des arts.


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03.2009

La sortie de l'ouvrage "Paris-New York et retour – Voyage dans les arts et les images" est le prétexte à cet entretien qui permet à Marc Fumaroli de jetter un long regard sur le monde des arts.
Il discerne, dans l’invasion contemporaine de ce dernier par l’image, une décadence de l’être-au-monde en général. L’image pullulante, terroriste à proportion de fantomatisme, fait évoluer l’homme au sein d’un univers de simulacres qui le coupent de tout référent et le courbent à immanence, ce qu’au contraire l’essence même de l’art permet d’éviter.
A l’industrie des "images-vampires", Marc Fumaroli oppose une conversion à "l’éternel retour de la Beauté", invitant à participer ainsi par elle à l’habitacle où se diffuse, en une même médiation, l’équilibre de la nature et de la grâce, ce visage caché du Christ dans l’art, cette sancta facies abscondita qui est le secret de toute peinture véridique.

Réflexions d’un philosophe inclassable. Avec Maxence Caron interrogé par l'abbé Guillaume de Tanouarn sur Radio Courtoisie.


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11.2012

L'entretien fait suite à la sortie du "Journal inexorable" de Maxence Caron.

Interview n°1 d'Alain Soral sur Ripoublik.


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12.2010

Dans cet entretien, Alain Soral réintroduit de la complexité face au problème de l’Islam en Occident afin d’éviter les pièges et les simplifications fausses.
C'est ainsi qu'Alain Soral affirme que le meilleur moyen pour les nationalistes français de bloquer l’expansion de l’Islam est de renouer avec la foi chrétienne.
Il nous explique aussi pourquoi il reste attaché à l’idéal républicain, sachant que celui-ci a été mis en place par la maçonnerie.
La lutte interne au FN est ensuite abordée, ainsi que les expériences de vie communautaire et le futur envisageable d’une espèce de communautarisme gaulois.
Finalement, Alain Soral dénonce les guerriers du net sous pseudo passant leur temps à insulter et diffamer.

L'inerrance biblique. Avec Dominique Tassot interrogé par Franck Abed.


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02.2012

Il est rare de pouvoir entendre ou voir un intellectuel qui utilise ses dons exceptionnels et son intelligence d’une rare finesse pour mieux comprendre et faire comprendre l’œuvre de Dieu.
Dominique Tassot, président du CEP, le Centre d’Études et de Prospective pour la Science, est l’auteur de plusieurs livres, dont "L’évolution, une difficulté pour la science, un danger pour la foi" ou encore "la Bible au risque de la science". Ce scientifique, dont l’érudition biblique est admirable, revient sur l’inerrance biblique, ses principes et ses conséquences.

René Pommier interrogé par Jean Robin pour Enquête&Débat.


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05.2012

Entretien avec l'un des auteurs les moins médiatisés de France.
René Pommier, universitaire, écrivain sceptique, rationaliste, et anti-religieux, dresse un tableau sans concession du milieu universitaire, des média et des phénomènes de censures dans notre société française.

Les fêtes païennes des quatre saisons. Avec Pierre Vial sur Radio Plaine.


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2008

Le christianisme, lors de sa conquête du sol européen, a récupéré et intégré des formes de sacralité s’exprimant dans la vie des communautés populaires.
On retrouve donc dans le calendrier des fêtes "chrétiennes" de nombreuses traces de fêtes païennes ancestrales.
Il est intéressant d'en comprendre la signification et de les remettre dans la perspective des mentalités païennes qui les avait produites.

L'affaire Jésus. Avec Henri Guillemin au Club 44 à la Chaux-de-Fonds.


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18.05.1981

Henri Guillemin fait ici la critique historique de l’histoire sainte, puis celle de la pratique chrétienne au XIXe siècle notamment, avant de livrer sa profession de foi.
Après la description des sources et la critique historique des documents attestant de la vie de Jésus, il retrace la biographie de "Joshua ben Josef" jusqu’à une description clinique et lyrique de la torture de la croix.
En seconde partie, Henri Guillemin décrit l’incohérence et l’hypocrisie de l’alliance du trône et de l’autel dans l’application de la parole chrétienne, à l'aide de plusieurs exemples historiques.
Il clôt cet exposé en récitant sa propre profession de foi, qui se veut être celle d’un "homme de bonne volonté".