Alain Benajam nous raconte ici une mauvaise passe de l'histoire de France, soit la fin du beau 13ème siècle et l'annonce de la guerre de cent ans qui sera un désastre pour notre pays.
La séquence historique a pour toile de fond un royaume endetté par une série d'aventures militaires engagées par le père de Phlilippe le Bel, Philippe III dit le Hardi. Seront également abordés Paris et l'architecture médiévale, ainsi que les problèmes de Philippe le Bel avec l'Eglise catholique.
C'est alors que surgiront le problème des templiers et les guerres de Flandre, sans oublier l'affaire de l'adultère des brus du roi et la légende de la Tour de Nesle.
Ces épisodes nous améneront à la fin de la lignée royale des capétiens.
La littérature est-elle morte ? C'est en effet le constat auquel on pourrait arriver après examen de la production littéraire actuelle.
Mais quelle est la cause de cette "déconfiture" ?
La discussion s'est d'abord portée sur le cadre de l'écriture pour s'attarder ensuite sur la question du déclin et du pourrissement des sociétés occidentales.
Alors que le film fait un triomphe en salle et reçoit des critiques élogieuses de toutes parts, Alain Finkiekraut convoque l'accusation.
L'un critique le fond en nous expliquant que "Si Le Pen cherchait un clip pour promouvoir sa vision du peuple et son idée de la France, Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain serait le candidat idéal" pendant que l'autre moque la forme en jugeant que "Le film donne l’impression de prolonger les pubs qui l’ont précédé".
Une émission pour comprendre le sens de ces attaques.