Lors de l'élection de 2007, les journalistes du Monde ont voté Ségolène Royal à 70%. Il est permis de croire qu'ils votent Hillary Clinton à 100 %. Car l'Américaine est le modèle de la Française. Et Hillary porte un masque plus hermétique que celui de Ségolène. Masque confectionné par la chirurgie esthétique, la coiffure, le maquillage, l'odontologie, bien sûr... Mais, surtout, masque plaqué par la pub, la com et le marketing.
Derrière ce masque, l'ambition dévorante d'une petite fille dressée par un "sergent La Terreur", son père. L'ambition féroce d'une féministe associée par pure politique au don Juan W. J. Clinton. L'ambition méthodique de la meilleure pompe à dollars du parti Démocrate. L'ambition sans frein d'une gauchiste vieillie qui jette ses principes (avortement, anti-sionisme, féminisme, etc.) comme un lest devenu encombrant.
Suite aux violences policières et autres irrégularités de la justice lors de l' affaire Castellucci et des suites des manifestations contre le "Mariage pour tous", Me Jérôme Triomphe rappelle les droits dont jouissent les citoyens français et européens quant au droit de rassemblement et d'expression des opinions.
Wilsdorf et Roger Jolly reçoivent Lajos Marton pour la sortie de son ouvrage autobiographique.
Et pour cause, Lajos Marton est connu en France pour avoir été l’un des trois hongrois ayant participé à l’attentat du Petit-Clamart, qui manqua de peu le 22 août 1962 d’ôter la vie au Général De Gaulle, alors président d’une France secouée par le drame de la guerre d’Algérie finissante. Pour cela, Lajos Marton sera condamné à mort.
Il nous livre le récit haut en couleurs de son existence mouvementée qui le mènera de l’insurrection de Budapest jusqu’au Tchad, toujours au service de son idéal et de ses principes. Un appel au courage, à l’insoumission et à la fidélité.