Claude Lefort retrace le cheminement intellectuel qui l’a amené à décrire le totalitarisme soviétique non simplement comme un régime à parti unique ou comme un capitalisme d’Etat, mais comme une forme inédite de société.
Il explique ainsi ce qui l’a opposé aux interprétations d’Hannah Arendt et à celles de Cornelius Castoriadis.
Une réflexion sur les deux utopies s’affrontant sur les décombres de l’idéologie républicaniste égalitaire, pour résoudre les insurmontables problèmes de l’immigration : celle du communautarisme et celle de l’intégration-assimilation, qui déchirent totalement, selon de nouveaux clivages, la gauche et la droite et la classe politico-médiatique.
En théorie, c’est facile : on comprime des atomes d’hydrogène jusqu’à que leurs noyaux fusionnent, provoquant un dégagement d’énergie. Le soleil le fait tous les jours, à très haute température.
Des expériences, pas toujours évidentes à reproduire, ont montré que cette transformation d'énergie est également possible en laboratoire, presque à froid.
Alors que l'état français a stoppé toute recherche dans le domaine, nombreux sont les labos étrangers –notamment chinois– planchant déjà sur la question.
Utilisation domestique bientôt possible pour chacun ou canular ?
La Gnose (connaissance), se présente comme une transcendance réservée à des initiés, une connaissance ésotérique des pensées divines.
C'est un principe radicalement opposé à la doctrine chrétienne ayant régulièrement "contaminé" la saine doctrine dispensée dans l'Eglise.
Etienne Couvert explique donc ici l'histoire et l'actualité de cette hérésie.
Evocation importante des circonstances et du déroulement de la Première Croisade dans les toutes dernières années du XIe siècle, ainsi que des contre-vérités continuant à se dire à ce sujet :
- le terme de Croisade n'a pas été utilisé pendant les premières croisades. On parlait de "pèlerinage", puis de "voyage outre-mer"
- on ne peut pas parler de "conquête" mais de "reconquête" : lorsque les croisés arrivent à Antioche, la ville n'est occupée par les musulmans que depuis 15 ans. La prise de Jérusalem, elle, se fait contre les armées égyptiennes qui n'ont repris la ville aux turcs que depuis 1 an !
- la guerre féodale, encadrée par la "paix de Dieu" appliquée strictement, était non seulement loin de la barbarie habituellement dépeinte, mais moins violente que la guerre moderne : elle épargnait certains lieux, certaines catégories de la population (femmes et enfants en particulier), et certains jours de la semaine
- la numérotation des croisades est ridicule et non historique.
- les Croisades ont été un "succès", dans la mesure où elles ont permis de rétablir durablement la liberté de "pèlerinage"
- les Croisades ont probablement retardé de 400 ans la chute de Constantinople - malgré le faux paradoxe de la prise de la ville par les croisés
- lors de la première croisade, et de l'appel de Clermont, on ne part pas combattre l'Islam ou les musulmans, puisque cette religion était tout bonnement inconnue par les foules en Occident
Cet évènement majeur pour la chrétienté occidentale et orientale s'inscrit bien dans un contexte et une continuité méconnus que l'historien Jacques Heers nous rappelle fort à propos.
Gabriele Adinolfi s'entretient sur des sujets aussi divers que l'Europe, l'instrumentalisation des islamistes et des populistes, les avancées de la gouvernance mondiale, ou l'arraisonnement des peuples et des nations par la finance mondiale.
Ils nous expose ses analyses sur l'actualité du coup d'état mondial permanent des oligarchies crypto-mafieuses qui veulent mettre le monde en coupe réglée en abattant systématiquement tout adversaire géopolitique et civilisationnel, qui veulent voir les nations d'Europe à genoux et ses peuples en esclavage.
Son but est de proposer des pistes à suivre qui permettraient de sortir des ornières et des logiques sclérosées afin de pouvoir agir sur le réel autrement qu'en imprécations stériles et narcissiques.